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Titre du blog : heremoana
Auteur : heremoana
Date de création : 19-01-2009
 
posté le 22-06-2010 à 07:38:23

Ciel prometteur .... ciel bleu .....

 

 

 

 

 

Mardi 22 Juin


 

On fête les Alban

Alba - Alban - Albane - Albe - Albin - Albina - Albine - Albinet - Aubain - Bain.
Alban, du latin albus, blanc..
Alban, féminin : Albane..
Noms dérivés : Alban, Albane, Albe....

Simples et insouciants, les Alban sont d'adorables chérubins que tous les parents rêvent d'élever. Mais lorsqu'ils grandissent, ils ont du mal à mûrir et se refusent à devenir adultes et responsables. C'est cette ambiguïté qui les fait aimer des autres..

 


 

 

1933 : naissance de Jacques Martin

1949 : ...................... Meryl Streep

1953 : ..................... Cyndi Lauper, chanteuse

1959 : .................... Nicola et Stéphane Sirkis du groupe Indochine

1961 : ................... Jimmy Somerville, chanteur

 

 

 

 

1969 : décès de Judy Garland, actrice et chanteuse

1987 : ................ Frédérick Austerlitz dit Fred Astaire

 

 

 

 

1976 : Abolition de la peine de mort par la Chambre des Communes canadienne

 

 

 

 

 

 

Le Cancer :


1er signe d'Eau -


Le Cancer maîtrise l'estomac et la poitrine.

Sa couleur est le blanc ou le noir, son minéral la pierre de lune, son jour le lundi, son style rêveur ou flou, instinctif, élégant, ses métiers, la restauration, l'hôtellerie, l'immobilier, antiquaire, archéologue...

Si vous êtes du signe du Cancer, ou Ascendant Cancer :

Nature rêveuse, tournée vers la nostalgie du passé, vers la mère, vers la famille : tout en instinct, tout en protection  vis-à-vis de l'extérieur, vous possédez une vie intérieure riche, une imagination fertile voire même infinie, une propension à éviter tout risque inutile, à rechercher la sécurité en ne vous dévoilant que lorsque la confiance est là, une nostalgie du passé pour le sentiment de bien-être qu'il vous rappelle.

Vous êtes émotif, sentimental, paisible, imaginatif, sensible, fidèle, résistant, protecteur, vulnérable, généreux, romantique, tendre, poète, paternel ou maternel, rêveur, indolent, gourmand, dévoué, mais vous pouvez aussi être craintif, irréaliste, fuyant, passif, susceptible, angoissé, dépendant, entêté, lunatique, passéiste, paresseux, pesant, casanier ou hermétique.

 

Animaux : Crabe, animaux à carapace.

Aliments : Lait, poisson, fruits et légumes riches en eau, navet, chou blanc et chou rouge.

Herbes et aromates : Estragon, verveine, saxifrage.

Fleurs et plantes : Géranium, rose blanche et fleurs blanches en général, nénuphar, volubilis, acanthe, lys.

Arbres : tous les arbres riches en sève.

Pierres Métaux et Sels : Perle, argent, chaux et phosphate de calcium.

 

 

 

 

 

 

 

Le père de Fred Astaire, Friedrich E. Austerlitz, émigre d'Autriche vers les États-Unis en 1892, où il épouse Johanne Geilus, d'ascendance alsacienne, en 1894 dans le Nebraska.

La famille déménage à New York en 1905.

Fred prend des leçons de danse à l'école Alvienne, et c'est en 1905, lors d'une interprétation dans une petite pièce avec sa sœur Adele, qu'il adopte le nom « Astaire » ; ce nom a été choisi car un de ses oncles avait été nommé dans son village « l'Astaire du Village ».


Cette pièce marque le début de leur carrière ; plébiscités par la presse locale, ils entament une série de nombreuses tournées.

Fred et Adele effectuent leur première performance à Broadway en 1917, dans la comédie musicale Over The Top.

Le spectacle est un échec relatif, mais la carrière des Astaire est lancée : Fred et Adele se produiront ensemble tout au long des années 1920, à Broadway et en Angleterre.


Ils se séparent en 1932, après le très acclamé The Band Wagon lorsque Adele épouse Lord Charles Cavendish, fils du duc du Devonshire.

Fred Astaire fait la connaissance de George et Ira Gershwin en 1922, lors de la production de For Goodness Sake

 

Fort de nombreuses performances acclamées par la critique, Fred Astaire se taille une réputation de chorégraphe et metteur en scène à Broadway.


En 1930, Alfred Aarons lui demande de revoir le morceau Embraceable You, dans sa comédie musicale Girl Crazy.

Cette même année, Astaire rencontre Ginger Rogers, avec laquelle il tournera plusieurs films.

Lorsque The Band Wagon s'arrête, après 260 représentations, Fred incarne le rôle principal de la comédie musicale The Gay Divorce, spectacle qui durera 248 représentations.

 

C'est alors que le cinéma commence à s'intéresser à lui.

Le producteur Mervyn LeRoy aborde Astaire pour faire un film de The Gay Divorcee.

Intéressé par le grand écran, Astaire se présente aux studios où il effectue un bout d'essai en janvier 1933.

Malgré le retour laconique d'un anonyme du studio sur sa performance : « Can't act. Slightly bald. Also dances. » (« Ne sait pas jouer la comédie. Un peu chauve. Danse aussi. », il est engagé pour Carioca (Flying Down to Rio).


Il entame alors une carrière cinématographique sans précédent.

Le 12 juillet 1933, il épouse Phyllis Potter, rencontrée un an auparavant.

 

Carioca, 1933, est son premier film avec Ginger Rogers.

La critique acclame ses talents de danseur.

 


RKO l'engage pour le tournage de La Joyeuse Divorcée.

Ce film consacre le couple Astaire-Rogers.

Leur succès sont à l'origine de l'importance que prendront les numéros dansés dans les comédies musicales hollywoodiennes.

Astaire accepte une offre de la part de NBC pour une émission de radio visant ainsi à diversifier sa carrière.

 


Son film suivant, En suivant la flotte (Follow the Fleet), tourné en 1936, est à nouveau un grand succès, confortant le couple Astaire-Rogers au sommet des hit-parades.

 

Fred Astaire eut pour partenaire Eleanor Powell dans Broadway qui danse, ainsi que Rita Hayworth dans L'Amour vient en dansant  qui, toutes deux et comme ses partenaires suivantes, furent comparées par la critique à Ginger Rogers ; mais on ne retrouvait pas avec elles l'alchimie du couple mythique.


En 1946, après le tournage de La Mélodie du bonheur, Fred Astaire annonce à la presse qu'il se retire du monde du cinéma.

Le film est annoncé comme étant son dernier et des milliers de lettres de protestation lui parviennent, le public ne se résignant pas à sa disparition de l'affiche.


Sa retraite est de courte durée. En octobre 1947, alors que Judy Garland et Gene Kelly sont en répétition pour Parade de printemps, Kelly se casse la cheville et appelle Astaire pour le remplacer.


 Conscient du potentiel Astaire-Garland sur une même affiche, le studio les reconduit pour un second film.


Judy Garland en est évincée, remplacée au pied levé par Ginger Rogers.

Dix ans plus tard, faute d'affiche Astaire-Garland, Arthur Freed s'offre le retour du couple Astaire-Rogers.

 

Entrons dans la danse est un succès et ravit les fans du couple dansant. La carrière de Fred Astaire prend un nouvel essor, et il tourne certains de ses plus grands films, jusqu'à la fin des années 1950, période à laquelle les offres se font plus rares.


Il tournera une série d'émissions spéciales pour la télévision, jusqu'au début des années 1960.

Astaire continue sa carrière cinématographique de façon sporadique jusque dans les années 1980, apparaissant dans des films tels La Vallée du bonheur en 1968 (sa dernière comédie musicale) et La Tour infernale en 1974, pour lequel il reçoit sa seule nomination aux Oscars dans la catégorie meilleur second rôle masculin.

Il reçoit un Oscar d'honneur en 1950 « pour son talent artistique exceptionnel et sa contribution à la technique des comédies musicales ». L'American Film Institute lui remet un « Lifetime Achievement Award » en 1981. Il le classera cinquième acteur de légende.

Son corps est inhumé à Chatsworth en Californie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’été

Et l’enfant répondit, pâmée

Sous la fourmillante caresse

De sa pantelante maîtresse :

« Je me meurs, ô ma bien-aimée !

« Je me meurs : ta gorge enflammée

Et lourde me soûle et m’oppresse ;

Ta forte chair d’où sort l’ivresse

Est étrangement parfumée ;

« Elle a, ta chair, le charme sombre

Des maturités estivales, —

Elle en a l’ambre, elle en a l’ombre ;

« Ta voix tonne dans les rafales,

Et ta chevelure sanglante

Fuit brusquement dans la nuit lente. »

Verlaine

 

 


....... 

En Quercy, l’été

 


La campagne éclatait, embrasée ; et les blés
Jaunis succombaient sous leurs épis d’or brûlés ;
Il faisait un août à racornir les arbres,
Les cieux semblaient plaqués de pierres et de marbres,
Rien ne bougeait en haut, rien ne bougeait en bas,
Et si tout respirait, on ne l’entendait pas ;
Empourpré, le soleil allongeait en silence
Ses grands dards trisaigus comme des fers de lance,
Et le sol, assailli de toutes parts, fendu,
S’ouvrait aux rayons chauds comme le plomb fondu ;
Pas d’air ; à l'horizon d’immenses prés, dont l’herbe
Ourlait une forêt immobile et superbe ;
Un grand fleuve arrêté, comme s’il était las,
Réverbérant du ciel les splendides éclats ;
Et plus loin, dévoré par les baisers de l’astre,
Un mont, dans la lumière ; un mont, tel qu’un pilastre ;
Un mont qui, sous la voûte en feu du firmament,
Flamboyait, chauve et nu, dans le rayonnement
Immense des cieux. Or, étendu sous un orme
Dont le soleil trouait la frondaison énorme,
Je regardais la roche âpre, chauffée à blanc,
Corrodée à la cime et corrodée au flanc,
Et, sous elle, l’abîme intense de la plaine
Avalant tout le feu dont la nue était pleine ;
Et je voyais flamber dans le miroir de l’eau
Les cheveux du soleil et les bras du bouleau ;
Mais, si loin que mes yeux lassés pouvaient s’étendre,
Rien de vert, rien de doux, rien d’ombreux, rien de tendre
Ne se montrait parmi l’irradiation
De la nature, tout entière en fusion.
Nul souffle. Aucun bruit. Rien ne remuait. Les terres,
Au nord comme au midi, rutilaient, solitaires
Sous ce ciel implacable et rempli d’un éclair,
Qui n'avait pas de trêve et qui dévorait l'air.
De ses langues de feu l’élémentaire flamme
Ardait tout, m’arrivant, subtile, jusqu’à l'âme,
Et je croyais, qu’en proie à cet ardent baiser,
J’allais m’évanouir et me vaporiser ;
Et qu’altérés, chauffés au point de se dissoudre,
Incendiés, noircis, calcinés, mis en poudre,
Ravins et mamelons, encore tout fumants,
Se désagrégeraient sous ces cieux incléments ;
Et déjà je pleurais, hélas ! sur nos vallées…
Sur ma vallée autour de laquelle, empilées,
S’étagent dans l’azur des crêtes de granit,
Où l’aigle farouche a ses petits et son nid
Royal !
Ô joie !…
Émus, les cieux impérissables
Se mouillent tout à coup, et, sur l’éclat des sables,
Mille atomes d'or pur, par un souffle enlevés,
Miroitent en dansant dans les airs avivés.
En vain le grand soleil agrandit son cratère,
Les gramens, les gazons ondulent sur la terre :
Avoines, blés, maïs, redressent leurs cheveux,
Et le saule, oscillant sur ses orteils baveux.
Incline vers les eaux sa difforme ramure
Où le vent, revenu, pleure, rit et murmure…
Tout renaît et palpite, et tout, monts, plaines, eaux,
Se meut ! Yeuses, sapins, houx, chênes et roseaux,
Les grands bois font sonner leurs cimes inégales ;
Et l’on entend des chants incertains de cigales
Et mille bruits charmants errant par-ci par-là :
Soudain, — j’en pleure encore, — un brave oiseau parla
Dans un arbre !

Léon Cladel

 

 

 

 

Instant humour :

 

 

 

Instant nostalgie : 

le 22.06.2001
En France : "Hasta La Vista" interprété par MC SOLAAR.
En Angleterre : "Angel" interprété par Shaggy feat. Rayvon.

Pour le plaisir,

 

 

 

 

 

 

Interrogation du jour :

 

 

Suite à l'encart déposé hier, .....,

je ne me prends pas la grosse tête ....

 

Je sais bien que mon blog ne mérite aucunement cet afflux de visites ....

Donc, je me pose des questions ......

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour le plaisir des yeux,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Commentaires

vendredi le 25-06-2010 à 18:48:22
je suis "casse couille" mais des fois j'aime prendre ses cheveux....et couic

je sais elle se méfie bises de cette fin de smaine.

.je craque pour les cheveux.
Ramona le 22-06-2010 à 20:47:07
Grease ? C'était la première fois qu'un jeune homme m'emmenait au cinéma. En plus c'était un radin, j'ai payé ma place... Je me souviens encore de son prénom, un certain Alain... de plus vantard, tout ce que je déteste chez la gente humaine (lol).

C'est du passé... n'en parlons plus !...

Je vais Katy, je fais aller...

Il me faut prendre le temps de t'écrire, la journée je me repose et le soir je visite mes internautes... je te promets que je le prendrais "le temps"...

Je t'embrasse avec toute mon affection sincère.
skynotblue le 22-06-2010 à 20:21:40
ce matin radio, ouaff , pas bonnes nouvelles.bisous
skynotblue le 22-06-2010 à 19:03:26
alors soit deux solutions, les petits cons de center t'ont repéré , soit on t'aime! direction messageie
fontenouilles le 22-06-2010 à 17:12:37
Hello...Merci de nous offrir d'aussi grands talents, Fred Astaire, judy Garland,quel régal... les regarder danser vous donne envie d'en faire autant. Je vais peut-être te sembler sévère, je préfére cent fois à toutes ces singeries sans saveur d'aujourd'hui ! bonne soirée
lolo78000 le 22-06-2010 à 15:25:06
kikou viens te souhaiter un très bon après-midi avec enfin du soleil!!! gros bizzzous
lafianceedusoleil le 22-06-2010 à 08:28:45
bonjour ma petite Heremoana,

c'est avec le soleil (il était tant), que je viens te souhaiter une superbe journée.

Dommage d'aller au travail, serais bien aller me balader.

Bon courage et bon mardi ma jolie

bisou