Vendredi 26 mars :
Ce matin à 6h02
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On fête les Larissa
Larissa, du grec laros, mouette, ou agréable à voir, charmant
Noms dérivés : Lara, Larie, Larisa....
Les Larissa sont enthousiastes et douces, timides et curieuses, intelligentes et secrètes. Elles sont naturellement attirées vers le beau et l'art. Leur complexité, leurs sautes d'humeur désorientent parfois leurs proches, qu'elles savent pourtant si bien séduire
1797 : naissance de Alfred de Vigny
1931 : ....................... Leonard Nimoy, acteur, réalisateur et chanteur américain
1944 : ....................... Diana Ross
1948 : ....................... Steve Tyler, chanteur
1963 : ....................... Roch Voisine
1827 : Décès du compositeur allemand Ludwig van Beethoven
1923 : Décès de l'actrice française Sarah Bernhardt (Rosine Bernard),
1953 : Le premier vaccin contre la poliomyélite est mis au point par le Dr Jonas Salk
1966 : Sortie du film "Paris brûle t-il ?" de René Clément avec Alain Delon, Maurice Ronet, Orson Welles, Claude Dauphin, Danel Gélin
1972 : La S.N.C.F. présente le T.G.V.
En verlan TGV donne VGT, phonétique de végéter, rester sur place. Pour le train le plus rapide c'est un comble !
1986 : Sortie en France du film " Out of Africa " avec Meryl Streep et Robert Redford.
1991 : Les plus anciens vestiges de chiens domestiques d'Europe du Nord sont mis à jour dans le Yorkshire. Ils datent de 9.500 ans. Voilà une amitié qui dure !
Tendrement :affectueusement, avec tendresse, câlinement, chèrement, affection, attachement
La tendresse est-elle l'amour ?
Le désir de tendresse, qui s'apparente parfois à un besoin, est profondément ancré dans le coeur de chacun
Même si ce désir a une histoire, même si notre culture le valorise particulièrement, il correspond incontestablement à un trait humain universel.
Reconnaître le prix de ce qui advient dans la tendresse ne doit pas empêcher d'oser interroger celle-ci de façon critique.
Car, si la tendresse est le premier nom de l'amour, elle n'en est sans doute pas le dernier.
Quand le coeur s'attendrit
« Tendresse » vient de tendre. L'adjectif dit la merveille qui advient lorsque le coeur de l'homme et de la femme, de dur qu'il était, devient sensible, vulnérable.
Chair et tendresse ont cela de commun: la vulnérabilité. (...) Dans la tendresse, deux faiblesses entrent en résonance et se reconnaissent.
La tendresse est promixité. L'autre devient proche, sensiblement et réellement . Une intimité s'établit entre deux êtres qui, naguère, étaient étrangers. Un pont est jeté au-dessus de l'abîme.
La tendresse introduit dans la relation une dimension nouvelle par rapport à la parole. Au-delà des mots, un débordement, une émotion, à mi-chemin entre sensation et sentiment. Peu importe ce qui est dit ou fait. La présence importe plus que les projets, l'être plus que l'agir.
L'unicité de la personne de l'autre devient "sensible", "bouleversante".
Son visage, son corps, tout son être acquièrent un prix sans égal, sa vie devient aussi précieuse que la sienne.
Tout cela arrive comme une grâce, c'est-à-dire comme un cadeau, gratuitement.
Comme tout lien humain cependant, la tendresse est beaucoup moins limpide lorsqu'elle est recherchée pour elle-même ou lorsque l'on s'y installe avec complaisance.
La quête de tendresse, en effet, est toujours peu ou prou une quête de soi.
Quête de reconnaissance, confirmation de sa valeur, sentiment de sécurité affective.
Désirs bien légitimes, certes, mais qui, s'ils sont dominants, peuvent révéler une certaine immaturité ou une incapacité à accéder à des relations plus exigeantes.
C'est sans doute pour cela que Tony Anatrella dit souvent que la tendresse n'est pas l'amour
Même si leurs points communs sont nombreux, même si la tendresse est incontestablement un des noms de l'amour, elle demeure un sentiment.
L'amour, au sens plénier, est encore autre chose.
Une orientation, un acte, un vouloir.
Aimer, c'est vouloir l'autre comme sujet ......
L'amour n'est pas seulement une palpitation du coeur; il est oeuvre, construction, engagement.
La tendresse doit donc être appréciée à sa juste place.
En reconnaître la saveur incomparable ne signifie pas vouloir asservir l'autre et encore moins le posséder, dans tous les sens du terme .....
Avoir un "faible" pour autrui peut être le commencement de beaucoup de choses, d'un demain où l'autre peut être présent, dans les joies comme dans les peines, toujours fidèle et sincère, puisque sans enjeu.
La licorne est une créature légendaire généralement décrite comme proche du cheval et de la chèvre, de couleur blanche, possédant une barbiche de bouc, des sabots fendus et une grande corne au milieu du front, droite, spiralée et pointue.
La licorne est mentionnée depuis l'Antiquité grecque. Elle devint l'animal imaginaire le plus important du Moyen Âge à la Renaissance. Elle est décrite comme un animal sylvestre très féroce, symbole de pureté et de grâce, que seule une vierge peut capturer. Sa corne possèderait le pouvoir de purifier l'eau de tout poison et de guérir les maladies. Des objets présentés comme d'authentiques « cornes de licorne » s'échangèrent durant ces périodes. On découvrit peu à peu que ces « cornes de licorne » étaient en réalité la défense d'un mammifère marin, le narval, et que les multiples descriptions qui avaient été faites de la licorne correspondaient aux déformations d'animaux comme le rhinocéros et l'antilope.
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La licorne blanche telle que nous la connaissons est une créature chimérique légendaire, c’est le résultat d'un mélange entre tradition orale et écriteDe nombreux auteurs ont développé des théories plus ou moins sérieuses qui s'opposent quant à ses origines, qui devrait se trouver dans l'Atlantide ou les montagnes de la lune .........
« La bête la plus sauvage de l’Inde est le monocéros ; il a le corps du cheval, la tête du cerf, les pieds de l’éléphant, la queue du sanglier ; un mugissement grave, une seule corne noire haute de deux coudées qui se dresse au milieu du front. On dit qu’on ne le prend pas vivant. »
Pline l'Ancien, Histoire naturelle
Cette licorne ne peut être attendrie que par une vierge.
Marco Polo fait allusion à cette légende dans Le Devisement du monde : « On pouvait trouver en cette province (l'Inde) des chevaux descendus de la semence du cheval à corne unique du roi Alexandre, nommé Bucéphale ; lesquels naissaient tous avec une étoile et une corne sur le front comme Bucéphale, parce que les juments avaient été couvertes par cet animal en personne. Mais toute la race de ceux-ci fut détruite. Les derniers se trouvaient au pouvoir d’un oncle du roi, et quand il refusa de permettre au roi d’en prendre un, celui-ci le fit mettre à mort ; mais de rage de la mort de son époux, la veuve anéantit ladite race, et la voilà perdue... »
"Il existe une bête appelée en grec monosceros "
Le Physiologue dit "que la nature de l’unicorne est la suivante : c’est un animal de petite taille, pareil à un chevreau, qui est vraiment très fougueux et a une corne unique au milieu de la tête. Et absolument aucun chasseur ne peut le prendre, mais on y parvient par le procédé suivant : on conduit une jeune fille vierge à l'endroit où il demeure et on la laisse seule dans la forêt. Aussitôt que l’unicorne voit la jeune fille, il bondit sur le giron de la vierge et l’enlace. Et c’est ainsi qu’il est attrapé et montré."
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Le monocéros fut étudié sporadiquement au VIe siècle, où l'on précise que « La licorne est redoutable et invincible, ayant toute sa force dans la corne. Chaque fois qu'elle se croit poursuivie par plusieurs chasseurs et sur le point d'être prise, elle bondit sur un roc escarpé et se lance d'en haut ; pendant sa chute elle se retourne ; sa corne amortit le choc et elle reste indemne »
On compte des centaines, voire des milliers de miniatures de licornes avec la même mise en scène : la bête est séduite par une vierge traitresse et un chasseur lui transperce le flanc avec une lance.
La « capture de la licorne » semble issue, à ce moment-là, de la culture de l’amour courtois, liée au respect de la femme, aux loisirs délicats, à la musique et à la poésie et tous ces récits comme leurs illustrations seraient d'inspiration chrétienne, la licorne y représentant la trahison envers le Christ, flanc percé par une lance comme dans l'épisode biblique de la Passion de Jésus-Christ
Le plus détaillé des récits de capture de la licorne figure dans le Bestiaire divin de Guillaume Le Clerc de Normandie, au XIIIe siècle. La licorne est décrite comme « un animal qui ne possède qu'une corne placée au milieu du front. Elle est si téméraire, agressive hardie qu'elle s'attaque à l'éléphant avec son sabot dur et tranchant, un sabot si aigu que, quoi qu'elle frappe, il n'est rien qu'elle ne puisse percer ou fendre. L'éléphant n'a aucun moyen de se défendre quand la licorne attaque, elle le frappe comme une lame sous le ventre et l'éventre entièrement. C'est le plus redoutable de tous les animaux qui existent au monde, sa vigueur est telle qu'elle ne craint aucun chasseur. Ceux qui veulent tenter de la prendre par ruse et de la lier doivent l'épier pendant qu'elle joue sur la montagne ou dans la vallée, une fois qu'ils ont découvert son gite et relevé avec soin ses traces, ils vont chercher une demoiselle qu'ils savent vierge, puis la font s'assoir au gite de la bête et attendent là pour la capturer. Lorsque la licorne arrive et qu'elle voit la jeune fille, elle vient aussitôt à elle et se couche sur ses genoux ; alors les chasseurs, qui sont en train de l'épier, s'élancent ; ils s'emparent d'elle et la lient, puis ils la conduisent devant le roi, de force et aussi vite qu'ils le peuvent »
Philippe de Thaon, vers 1300, précise que la vierge doit découvrir son sein, puis « la licorne sent son odeur et vient à la pucelle, baise son sein et s’y endort, ce qui entraine sa mort ». ..... (quel symbolisme !!!!)
La licorne médiévale est devenue très célèbre en grande partie grâce aux six tapisseries de la dame à la licorne, datées de la fin du XVe siècle et exposées au Musée de Cluny à Paris. Sur chacune d'elles, un lion et une licorne sont représentés à droite et à gauche d'une dame. Cinq de ces représentations illustrent un sens :le goût : la dame prend une dragée que lui tend sa servante ; vue : la licorne se contemple dans un miroir tenu par la dame ; l'odorat : pendant que la dame fabrique une couronne de fleurs, un singe respire le parfum d'une fleur dont il s'est emparé ; le la sixième tapisserie, sur laquelle on peut lire la formule « À mon seul désir » sur une tente, est plus difficile à interpréter.
La fameuse « corne de licorne » se vit associer pendant très longtemps des pouvoirs magiques et des vertus de contrepoison qui en firent l'un des remèdes les plus chers et les plus réputés au cours de la Renaissance.
La principale utilisation médicinale de la corne est liée à sa corne et à son pouvoir de purification, mentionné pour la première fois au XIIIe siècle.
L'usage de la « corne de licorne » fut préconisé contre la rubéole, la rougeole, les fièvres et les douleurs. Sous forme de poudre, elle était réputée faciliter la guérison des blessures, permettre de purifier les eaux et de neutraliser les poisons, voire lutter contre la peste.
Elle suerait en présence du venin et aurait aussi un pouvoir aphrodisiaque.
Des « cornes » de forme torsadée s’échangeaient et circulaient depuis très longtemps. La « corne de licorne » était censée être, dès le Moyen Âge, le bien le plus précieux que puisse posséder un roi.
Le cours de la « corne de licorne » atteignit son apogée au milieu du XVIe siècle, où elle était considérée comme le meilleur contrepoison existant avec la pierre de bézoard, puis son prix ne cessa de baisser au cours des années suivantes pour s'effondrer au XVIIe siècle.
Les récits de voyages et d'explorations forment l'une des bases de la légende de la licorne car dès l’antiquité, Ctésias affirma à son retour des Indes que l’âne de ce pays portait une corne unique au milieu de la tête. Ses dires furent repris par Aristote.
De la fin du Moyen Âge à la Renaissance, à l'époque des grandes explorations, de nombreux voyageurs assurent avoir vu des licornes et en firent même des descriptions très précises, souvent contradictoires, qui amenèrent certains interprètes à croire que les licorne formaient une famille comprenant des races très différentes les unes des autres, d'autres interprètes à douter de la réalité de son existence.
Au milieu du XVIe siècle, apparaissent des récits mentionnant d'étranges licornes aquatiques.
Entre le promontoire de Bonne-Espérance et celui des Courantes était censé vivre un animal amphibie qui avait la tête et le crin d’un cheval, une corne de deux empans de long, mobile, tournant tantôt à dextre, tantôt à sénestre, se haussant et se baissant. Cet animal combattrait furieusement contre l’éléphant et sa corne serait fort prisée contre les venins.Ambroise Paré pensait dans son Discours de la licorne que ces « cornes » étaient en réalité des défenses de morses. Les récits de voyageurs maritimes regorgeaient aussi d'exploits attribués à des bêtes aquatiques à cornes. La première mention d'un
narval cornu figure dans un ouvrage savant de 1607 en ces termes « La chair du Nahwal fait soudain mourir celui qui en mange, et il a une dent de sept coudées sur l'inférieure partie de la tête. Aucuns l'ont vendue pour corne de monocéros, et croit-on qu'elle résiste aux venins. Cette bestiasse a quarante aulnes de longueurs».La licorne est classée comme une créature légendaire sous le nom d'unicornu fictium. Au fil du temps, il fut admit qu'elle n'existait pas, et que toutes les « cornes de licorne » qui s’échangeaient jusque là étaient en réalité des dents de narval particulières, poussant dans la partie gauche de la mâchoire de cet animal inoffensif.
.Le symbolisme de la licorne a été important à travers les siècles : protection, maléfique, duperie, force, mais aussi douceur, pureté, virginité …..
Le symbolisme sexuel de la licorne est explicite car cet animal est femelle et vierge, mais sa corne de forme phallique est un attribut mâle.
Cette corne peut symboliser une étape de la différenciation et la sublimation sexuelle, elle est comparable à une verge frontale, un phallus psychique et la fécondité spirituelle.
D'ordinaire, chez de nombreuses espèces animales, seuls les mâles portent des cornes, la corne de la licorne évoque donc la puissance virile.
La licorne est parfois associée à la lascivité et la luxure, comme le prouvent quelques statues et des bas reliefs où elle place sa corne entre les seins nus d'une femme, par exemple.
La licorne a fait rêver durant des siècles …..
Elle garde un « pouvoir » esthéthique » important et sa pureté ensorcèle …..
Sa magie en ont fait un « animal » qui perdure ….. Même dans les tatouages ……
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Instant nostalgie :
le 26.03.1993
En France : "I Will Always Love You" interprété par Whitney HOUSTON.
En Angleterre : "Oh Carolina" interprété par Shaggy.
Instant humour :
Pour le plaisir des yeux :
Commentaires
ta fille j'avais oublié.....tu l'embrasseras pour moi...yves tendre....trop surement con des fois...j'ai presque fini ce que j'avai a faire, je me sens mieux..
J'ai beaucoup aimé cette définition de la tendresse...
Passe de bonnes vacances Katy, et profite de ta fille et du repos bien mérité.
A plus tard.
Gros bisous plein de tendresse.
Salut, ouf c'est le week-end, extra. Gros bisous, bonne soirée.
gros bisous , je passe ce soir pour te dire que je met mon blog en arret pour quelques temps prend soin de toi a++++ nala
dsl pour le copier/coller
Bon, c'est a moitié réussi, je ferais mieux la prochaine fois...
Bonsoir. Aujourd'hui, la licorne est une créature légendaire fantasmatique, parmi les plus typiques et les plus connues du domaine de la fantaisie, de nombreses œuvres de fiction lui ont été consacrés. Entre autre, Les aventures de Tintin et Milou (1929) - Le Secret de la Licorne.
je ne sais pas si cela marchera ?
voici un belle licorne :
bon week-end, si j'ai bien compris, au soleil. Chanceuse, chez moi il pleut !
Je viens te souhaiter de passer une bonne semaine de vacances au soleil et en famille.
Bisous.
gros bisous et bonnes vacances avec ta fille dans ton cocon de Fumel. Salut de ma part Alain, et les autres...
Ressource-toi et repose-toi bien et prends soin de ton genou.
Je vais chez ma fille jusqu'à mardi et ensuite je mets de l'ordre dans ma tête si c'est possible.
Tendrement.
Christian