Mercredi 10 mars :
1920 : naissance de Boris Vian
1931 : ...................... Georges Dor, auteur, compositeur, dramaturge, chanteur, poète, traducteur, producteur et réalisateur de théâtre.
1940 : ...................... Chuck Norris
1954 : ...................... Didier Barbelivien auteur, compositeur (pour Johnny Hallyday, Michel Sardou, Claude François, Gilbert Montagné, Sylvie Vartan, Gilbert Bécaud, Enrico Macias, Demis Roussos, Julio Iglesias, Nicole Croisille, Patricia Kaas, Philippe Lavil, Elsa, Gérard Lenorman, Garou, ...)et interprète : Michèle, Mademoiselle chante le blues, Mon mec à moi, Les hommes qui passent, D'Allemagne, On va s'aimer, Sous les sunlights des tropiques, Je te survivrai, Est-ce que tu viens pour les vacances, Quand je t'aime, Ceux qui n'ont rien, Entrer dans la lumière, Il tape sur des bambous, Elle préfère l'amour en mer, A toutes les filles, ...
1958 : ......................... Sharon Stone
1963 : ......................... Jeff Ament du groupe Pearl Jam
1964 : ........................ Neneh Cherry, chanteuse
1966 : ........................ Arthur, animateur
1972 : ........................ Ramzy, né Ramzy Bédia, duo d'humoristes Eric et Ramzy
1974 : ........................ Keren Ann
1983 : ........................ Carrie Marie Underwood, chanteuse américaine de country
1988 : décès de Andrew Gibb, dit Andy Gibb, membre du groupe "Bee Gees".
1899 : Un décret français règlemente la circulation des automobiles :
la vitesse est limitée à 30 km/h en rase campagne
la vitesse est limitée à 20 km/h en agglomération
nécessité d'un récépissé de déclaration de mise en circulation : la carte grise
nécessité d'un certificat de capacité pour la conduite des véhicules : le permis de conduire
1933 : Les nazis ouvrent, à Dachau, Allemagne, le premier camp de concentration.
2001 : Le Comité contre l'esclavage moderne porte plainte contre un ingénieur français et son épouse malgache. Ce couple de Maurepas, France, avait réduit une feune femme malgache à l'esclavage. Cette dernière fesait des journées de 7h du matin, jusqu'à minuit, n'avait aucun jour de congé, dormait par terre dans la salle de bains, et n'avait encore touché aucun salaire.
Boris Vian est un écrivain français, poète, parolier, chanteur, critique et musicien de jazz (trompettiste), né le 10 mars 1920, à Ville-d'Avray (Seine-et-Oise, aujourd'hui Hauts-de-Seine), mort le 23 juin 1959 à Paris. Il fut aussi ingénieur de l'École centrale, inventeur, scénariste, traducteur (anglo-américain), conférencier, acteur d'occasion et peintre. Vian a signé ses nombreux écrits de pseudonymes divers dont le fameux Vernon Sullivan, « auteur » de J'irai cracher sur vos tombes.
Boris Vian naît le 10 mars 1920 à Ville-d'Avray dans les Hauts-de-Seine. Son père Paul, d'abord rentier, est contraint après 1930 de travailler pour le laboratoire homéopathique de l'Abbé Chaupitre ; sa mère Yvonne Ravenez est pianiste et harpiste amateur. Son grand-père Henri Vian fut bronzier et fondeur[1], ses magasins étaient au 5 rue Thorigny à Paris, dans l'Hôtel Salé devenu depuis le musée Picasso.
Le frère ainé de Boris, né le 17 octobre 1918, s'appelle Lélio ; il y aura deux autres enfants après Boris, Alain né le 24 septembre 1921, et Ninon née le 15 septembre 1924.
À douze ans, Boris est victime d'un rhumatisme articulaire aigu, qui lui occasionne une insuffisance aortique.
Cette maladie du cœur, dont ses œuvres porteront la trace, en fera la cible de l'affection trop étouffante de sa mère. Il en parlera dans L'Herbe rouge, et plus encore dans L'Arrache-cœur.
Il fait ses études primaires et de collège au lycée de Sèvres (1927-1932), puis entre au lycée Hoche de Versailles, de la troisième à la classe de Philosophie (1932-1936).
Sa scolarité est souvent interrompue en raison d'accidents de santé. S'il passe avec facilité la première partie du baccalauréat en 1935, il est contraint de suivre une seconde terminale au lycée Condorcet, à Paris, où il obtient le baccalauréat final A-philosophie, avec option mathématiques.
Il suit les classes préparatoires aux grandes écoles scientifiques au lycée Condorcet et entre à l'École centrale Paris en 1939. À la fin de ses études, il travaille comme ingénieur à l'Association française de normalisation (AFNOR)[2],[3], de 1942 à 1946, où il profite de ses instants de liberté pour écrire et jouer de la musique jazz. Le 5 juillet 1941, il épouse Michelle Léglise en l'église Saint-Vincent-de-Paul à Paris.
Il fréquente les cafés de Saint-Germain-des-Prés : café de Flore ou des Deux Magots, à l'époque où ceux-ci rassemblent intellectuels et artistes de la rive gauche : Jean-Paul Sartre (le Jean Sol Partre de L'Écume des jours), Raymond Queneau, Simone de Beauvoir, Juliette Gréco, Marcel Mouloudji ou Miles Davis.
Son premier roman célèbre (sous l'hétéronyme de Vernon Sullivan) est J'irai cracher sur vos tombes, écrit en 1946. Le roman est très controversé, notamment parce qu'il est retrouvé sur les lieux d'un crime passionnel. Boris Vian est condamné en 1950 pour outrage aux bonnes mœurs. S'ensuivent des romans tout aussi noirs et sarcastiques : Les morts ont tous la même peau, Et on tuera tous les affreux et Elles se rendent pas compte.
Si les œuvres à succès, signées Vernon Sullivan, ont permis à Vian de vivre, elles ont aussi occulté les romans signés de son vrai nom, œuvres plus importantes à ses yeux. D'après lui, seuls ces derniers avaient une véritable valeur littéraire. Après l'échec de L'Arrache-cœur, il décide d'abandonner la littérature.
Passionné de jazz, il joue de la trompette de poche (rebaptisée « trompinette-c'est une petite trompette ») au Tabou, club de Saint-Germain-des-Prés. Il est aussi directeur artistique chez Philips et chroniqueur dans Jazz Hot de décembre 1947 à juillet 1958, où il tient une « revue de la presse » explosive et extravagante.
Henri Salvador disait de lui : « Il était un amoureux du jazz, ne vivait que pour le jazz, n'entendait, ne s'exprimait qu'en jazz ».
1951 et 1952 seront des années sombres pour Boris Vian. Il vient de quitter son épouse Michelle Léglise, dont il a eu deux enfants, Patrick en 1942 et Carole en 1948, et vit difficilement de traductions dans une chambre de bonne, au 8 boulevard de Clichy.
Il n'a plus un sou mais le fisc s'acharne à lui soutirer des impôts anciens qu'il ne peut payer.
Son esprit fécond l’amène cependant à collaborer au Collège de 'Pataphysique (la science des solutions imaginaires), fondé en 1948. Il y retrouve Raymond Queneau et est nommé Équarrisseur de première classe en 1952, puis satrape en mai 1953.
Dans cette aimable corporation, il donne libre cours à son imagination.
En 1954, il se remarie avec Ursula Kübler.
Il fait quelques apparitions sur scène, au théâtre et dans quelques films. Il joue par exemple le cardinal de Paris dans Notre-Dame de Paris de Jean Delannoy.
Le matin du 23 juin 1959, Boris Vian assiste à la première de J'irai cracher sur vos tombes, film inspiré de son roman, au cinéma Le Marbœuf.
Il a déjà combattu les producteurs, sûrs de leur interprétation de son travail, et publiquement dénoncé le film, annonçant qu'il souhaitait faire enlever son nom du générique. Quelques minutes après le début du film, il s'effondre dans son siège et, avant d'arriver à l'hôpital, meurt d'une crise cardiaque.
Le Collège de 'Pataphysique annonce la mort apparente du « Transcendant Satrape ».
Son œuvre connut un immense succès public posthume dans les années 1960 et 1970, notamment pendant les événements de mai 68. Les jeunes de la nouvelle génération redécouvrent Vian, l'éternel adolescent, dans lequel ils se retrouvent.
PseudonymesBoris Vian était un grand consommateur de noms de plume, ce qui lui a permis de s'exprimer selon toutes les facettes de sa personnalité. On dénombre officiellement 27 pseudonymes, qui, selon les interprétations courantes, s'identifient à vingt-deux figures journalistiques, quatre purement littéraires et une politique. Parmi celles-ci, quatre femmes. Mais en fait il y en a bien plus ...
Instant nostalgie :
le 10.03.1961
En France : "Non, Je Ne Regrette Rien" interprété par Edith PIAF.
En Angleterre : "Walk Right Back / Ebony Eyes" interprété par The Everly Brothers.
Commentaires
coucou
merci de ton com passe une bonne soirée et bon jeudi bise
Bonsoir Heremoana, l'Egypte est toujours pour moi une source de Lumière, je me sens apaisé sous le palmier d'Egypte et je marche volontiers sur les sables de Memphis....Passe une bonne soirée....
Jakin,
la violette ma fleur préférée par ce froid elle est bien cachée bonne journée
bonjour que de jolie chose chez toi de belle video
je suis pas passer hier soir trop fatiguer j'avais qu'une envis c'etais de me metre sous ma couette
surment du a ma sortis et se vent glacial
passe une bonne journée bis patricia
bonjour ma jolie,
espère que tu as passé une bonne nuit de sommeil et que tu es en forme.
Avec ce terrible vent, depuis une semaine, j'ai mal aux yeux. Je vais mettre du collyre en espérant que cela me fera du bien.Merci pour ton bel article.
Belle journée
bisou
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Coucou
hé bien aujourd'hui c'est la St Vivien mon meilleur ami de ma maternelle à mon bac alors je sais on s'en fout !
Mais qui c'est où qu'il soit sur la planète il lit peut être cet excellent blog !!
bisous
bonne journée à toi
bonjour..
merci de nous apprendre tout ça..
bonne journée..
kissouilles.. jean claude..