Bon samedi et agréable week-end ....
Ce matin à 7h37
. Saint-Lo : 2 °C, Belles éclaircies. Vent : 11 km/h
. Cognac : 5 °C, Averses. Vent : 11 km/h
. Dax : 7 °C, Averses localement orageuses. Vent : 18 km/h
. PAPEETE : 27 °C, Pluies éparses. Vent : 15 km/h
(on en rêve de ces 27 degrés de Papeete ....)
1943 : naissance de Carlos
1946 : ........................ Richard Cocciante
1967 : ......................... Kurt Cobain
1985 : Le parlement d'Irlande autorise la vente des contraceptifs.
CARNAVAL DE RIO DE JANEIRO :
Le carnaval est la fête nationale la plus populaire au Brésil, et à Rio de Janeiro en particulier. Il a lieu tous les ans entre l'Épiphanie et le Carême, durant les 4 jours qui précèdent le mercredi des Cendres.
Il s'agit de l'événement touristique le plus important de la municipalité de Rio, étant devenu un vrai synonyme de la célébration du Carnaval dans le pays et même au monde.
À la fin du XIXe siècle, les cordões (littéralement, les cordons) font leur apparition à Rio de Janeiro. Il s'agit de petits groupes qui déambulent dans les rues de la ville, tout en dansant et en jouant de la musique. Ces cordões sont les ancêtres des écoles de samba modernes. En 1899, la première musique composée exclusivement pour le carnaval voit le jour : "Ô Abre Alas" ("Oh, ouvrez les allées"), de Chiquinha Gonzaga. Cet air a été écrit pour le cordão (singulier de cordões) Rosas de Ouro (Roses d'or).
À cette époque, plusieurs tentatives de modification de la date du carnaval eurent lieu : il s'agissait de le transposer en hiver (de juin à août dans l'hémisphère sud), afin d'éviter les "maléfices" d'un été trop chaud. Cependant, aucune de ces tentatives n'a abouti.
Les carnavals les plus connus du Brésil sont ceux de São Paulo, de Recife, de Salvador de Bahia et bien évidemment de Rio de Janeiro.
A Rio, le carnaval débute dans les rues de la ville avec les bals pré-carnavalesques, les défilés des bandas et des blocos. Il s'agit de groupes de percussionnistes qui défilent, accompagnés de personnes déguisées. Généralement, un bloco est organisé par les habitants d'un quartier. Ces défilés commencent bien avant le carnaval, les premiers se tenant plus de 3 semaines avant le début officiel des festivités.
Pendant le carnaval, des bals sont organisés dans les différents clubs de la ville. La mairie réalise également des bals populaires ouverts à tous dans certains lieux traditionnels de la ville.
Lors du carnaval, les différents groupes des écoles de samba défilent. Les écoles des 2 meilleurs groupes défilent dans le sambodrome, les autres défilent dans les rues de la ville.
A l'issue de ces défilés, un classement, rendu public le mercredi suivant le carnaval, est attribué. La première école du groupe spécial est déclarée championne.
Les défilés du groupe spécial, ainsi que l'annonce des résultats, sont retransmis en direct à la télévision.
Chaque école choisit un thème pour son défilé (l'enredo). Les thèmes abordés sont très divers, en voici quelques exemples : Minas Gerais, Amazonie, Bahia (régions du Brésil), histoire du Brésil, histoire de l'humanité, vision du futur, sécurité routière, l'ADN, le préservatif.
Ce thème sert de fil conducteur au défilé.. Les costumes et les chars allégoriques doivent aussi reprendre ce thème.
Les défilés au sambodrome s'étalent sur 4 jours.
Ces défilés ont lieu de nuit, de 21 heures à 6 heures du matin. Ces défilés sont une sorte de compétition sportive à l'issue de laquelle est désignée l'école championne. Chaque école doit donc se soumettre à un certain nombre de règles strictes.
Le samedi suivant le carnaval, les 6 écoles en tête du groupe spécial défilent à nouveau dans le sambodrome, pour le Défilé des Champions.
CARNAVAL DE NICE :
La première mention retrouvée des réjouissances carnavalesques niçoises remonte à 1294, lorsque Charles d'Anjou, Comte de Provence, signale qu'il a passé à Nice "les jours joyeux de Carnaval ".
Jusqu'au XVIIIe siècle, les festivités carnavalesques étaient ponctuées de bals masqués et de farandoles effrénées dans l'actuelle Vieille Ville.
Sous l'influence du Carnaval de Venise, un Carnaval de salon et les "Veglioni " -bals masqués privés- se développent au cours du XVIIIe siècle, au détriment des distractions de rue.
Jusqu'en 1872, la fête battit son plein dans les rues de Nice, au gré des inspirations de chacun : la foule déguisée se bombardait de confetti de plâtre, de farine, d'œufs.
Mais en 1873, le Niçois Andriot SAËTONE prit l'initiative de fonder le " Comité des Fêtes " qui, sous le patronage de la municipalité, fut chargé d'organiser et donner de l'ampleur au Carnaval de Nice.
Ainsi, le 23 février 1873, Carnaval 1er entra dans la ville. Le Carnaval moderne était né, auquel Alexis MOSSA puis son fils Gustav-Adolf apportèrent, jusqu'en 1971, un étonnant particularisme, grotesque et fabuleux, en réalisant les maquettes des chars les plus spectaculaires qui aient défilé à Nice.
Le 14 février 1882, Sa Majesté " Triboulet " fit une entrée triomphale dans la Cité : le modeste pantin de paille et de chiffons, jusque là spectateur immobile sur la place de la Préfecture, participait pour la première fois au cortège, trônant sur le " Char royal " identique à ceux d'aujourd'hui.
CARNAVAL DE DUNKERQUE :
Les origines du carnaval dunkerquois remontent au début du XVII siècle. Les armateurs offraient aux marins-pêcheurs avant de partir pour 6 mois de pêche à la morue en Islande, un repas et une fête (la "Foye"), ainsi que la moitié de leur solde. Beaucoup d'entre eux ne revenaient pas toucher l'autre moitié de leur solde (perdus en mer, naufrage...) laissant femmes et enfants sans rien. De la foye naîtra la "Visshersbende" (bande des pêcheurs en flamand). Elle se déroulait à l'origine entre le lundi gras et le mercredi des cendres marquant le début du Carême.
Les carnavaleux sont indépendants, ou regroupés en associations. Chaque association organise son bal.
Une bande est un rassemblement de personnes déguisées défilant dans les rue d'une ville ou d'un quartier. Elle est composée du tambour-major, de la clique (la musique) et des carnavaleux.
Le tambour-major dirige la musique et choisit le parcours. Lorsque les fifres jouent, les carnavaleux avancent en marchant doucement. Lorsque les trompettes jouent, alors a lieu un chahut. Les premières lignes ont pour but de retenir les carnavaleux, organisés eux aussi en lignes
Les bals se déroulent la plupart du temps au Kursaal, sur la digue de Malo-les-Bains A l'avant bal, on se fait un petit tour de digue, et on boit une pinte (une bière) ou deux dans un café. Le bal est une sorte de grande fête où tous les carnavaleux se réunissent pour s'amuser et rencontrer des gens, sur des musiques du carnaval et de la variété. Chaque bal est organisé par une association ayant un but, aider les handicapés… Les masques peuvent donc faire la fête tout en aidant des gens dans le besoin, et ça c'est l'esprit carnaval.
Le carnaval est l’occasion de se défouler et de laisser libre cours à son imagination. C’est pourquoi les carnavaleux rivalisent d’ingéniosité pour la confection de leur déguisement. Beaucoup d’hommes se déguisent en femmes et pour cela adoptent perruques, jupes bas-résilles, bijoux, faux-cils, maquillage, chapeaux à fleurs. Certains enfilent même des sous-vêtements féminins au-dessus de leur robe. D’autres choisissent le pagne de paille, le sous-pull noir, se noircissent le visage afin de ressembler aux « zoulous » sans idée raciste, le carnaval restant une fête. Le figueman est très répandu dans la bande.
Il la devance souvent, armé de son bâton au bout duquel pend une chaussette malodorante, une araignée ou un poisson, accrochés par une ficelle, ont remplacé la figue qui lui a donné son nom au début du siècle. À l’heure actuelle, le figueman surprend les spectateurs avec son araignée. Les déguisements s’assemblent souvent à l’aide de vieux vêtements retrouvés dans le grenier ou offerts par une tante ou une grand-mère. Les carnavaleux sont les rois de la récupération.
Le marché de Dunkerque a même son « coin carnaval », où l'on achète de vieux vêtements pour le carnaval (fourrures, chapeaux, vêtements..)
A la fin de la bande, la musique se place sur un podium autour duquel les carnavaleux entament le rigodon final pendant une heure sur tous les airs de Carnaval. Les carnavaleux sont écrasés les uns contre les autres pendant tout le rigodon, même pendant les chansons ne provoquant pas habituellement de chahut. Par temps froid, il n'est pas rare de voir s’élever au-dessus des carnavaleux comprimés, un nuage de vapeur, qui donne à l’évènement un aspect irréel. À la fin du rigodon les carnavaleux entament l’hymne à Co-Pinard, en souvenir du regretté Tambour-Major, et la Cantate à Jean Bart, en hommage au corsaire dunkerquois
Le carnaval de Dunkerque possède un grand nombre de chants traditionnels,comme par exemple :
« Wiche, wiche »
« La Cabaretière (fais-nous crédit) »
« Au Cinquième Étage »
« On est heureux »Etc……
CARNAVAL DE VENISE :
Le carnaval de Venise est une fête traditionnelle italienne remontant au Moyen Âge. Apparu vers le Xe siècle, il a été institutionnalisé et « codifié » durant la Renaissance. Après une période d'éclipse au cours du XXe siècle, il est réapparu, sous sa forme actuelle, en 1979.
Le carnaval de Venise se déroule tous les ans vers la fin du mois de février ou le début du mois de mars, au cours de la période de douze jours précédant le Mardi Gras. Il attire des foules considérables venues du monde entier pour participer à la fête, en se déguisant et, devenu une attraction touristique planétaire, il a quelque peu perdu son authenticité et son caractère vénitien.
Inspiré par la commedia dell'arte, le déguisement traditionnel est la bauta, comprenant le tabarro, la larva et le tricorne, ou encore le masque d'arlequin (son habit est coloré à losanges : au XVIe siècle, loin d'être élégant, l'habit était simplement rapiécé pour figurer les haillons d'un mendiant).
Autrefois, ces déguisements permettaient à tous les Vénitiens, quelle que soit leur condition sociale, de participer à la fête
Il est aujourd'hui l'un des carnavals les plus connus au monde.
Cependant, l'ambiance n'est plus la même, et les déguisements ont eux aussi évolué. C'est sur la grande galerie du palais des Doges au style gothique que se retrouvent volontiers les masques du carnaval dont la vogue très ancienne fut relancée par la municipalité à la fin des années 1970.
Toutes ces festivités, qui durent désormais près d'un mois, avaient été supprimées dès la chute de la république, soit à la fin du XVIIIe siècle au cours duquel elles connurent pourtant une véritable apothéose, transformant la ville en un gigantesque bal costumé. Durant ces quelques jours de fête, les touristes affluent du monde entier.
Une merveille ..... mystère et raffinement .....
Un autre monde ..... le temps d'un carnaval .....
J'aimerai y aller .... un jour .....
Chaque homme doit inventer son chemin.
Jean-Paul Sartre.
Commentaires
Carnaval de Venise à voir et à revoir... mais avec de bonnes guiboles (sourire).
C'est lors de ce carnaval en 2004, que j'ai réalisé qu'il me fallait faire quelque chose à ma hanche et vite !!!
Bisou ma douce à très vite.
bonjour a toi.tu peux prendre tout ce que tu veux sur mon blog, sauf les photos du grand père et de mon père.Bises sincéres, içi il fait magnifique.je vais au jardin cett aprem m'occuper des fleurs.Et oui j'adore le jardinage et le bricolage.