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Titre du blog : heremoana
Auteur : heremoana
Date de création : 19-01-2009
 
posté le 10-10-2013 à 06:54:03

 

 

Jeudi 10 octobre

 

 

Bonjour !!!

Je vous poste cet article .... avec retard !!!

C'est celui d'hier que je n'ai pas eu le temps de terminer .....

pour cause de journée surchargée .....

Donc, ce n'est pas une erreur : Léopold Sédar Senghor est bien né

le 9 octobre .....

Désolée !!!!!!

Bonne journée pluvieuse et automnale !!!!

 

Instant poésie :

Léopold Sédar Senghor, né le 9 octobre 1906 au Sénégal, et mort le 20 décembre 2001 en France, est un poète, écrivain, homme politique sénégalais et premier président de la République du Sénégal (1960-1980) et il fut aussi le premier Africain à siéger à l'Académie française.

 Il a également été ministre en France avant l'indépendance de son pays.

Il est le symbole de la coopération entre la France et ses anciennes colonies pour ses partisans ou du néo-colonialisme français en Afrique pour ses détracteurs.

Léopold Sédar Senghor naît dans une petite ville côtière au sud de Dakar.

Son père, Basile Diogoye Senghor, est un commerçant catholique aisé appartenant à l'aristocratie sérère du Sénégal.

 Sa mère, Gnilane Ndiémé Bakhoum (?-1948) appartient à l'ethnie sérère et à la lignée Tabor mais a des origines Peules. C'est la troisième épouse de Basile Diogoye Senghor, dont elle aura six enfants dont deux garçons.

 Le prénom sérère Sédar signifie « qu’on ne peut humilier ».

 Le jeune Léopold fréquente plus tard la mission catholique de Joal où il apprend le catéchisme et les premiers rudiments de la langue française. 

 Il est  passionné de littérature française.

Bon élève, il réussit le baccalauréat, notamment grâce au français et au latin. Le directeur du lycée et ses professeurs recommandent d'envoyer Senghor poursuivre ses études en France. Il obtient une demi-bourse de l'administration coloniale et quitte pour la première fois le Sénégal à l'âge de 22 ans.

Senghor arrive en France en 1928.

Cela marque le début de « seize années d’errance », selon ses dires. Il est tout d'abord étudiant à la Sorbonne, mais très vite, découragé, il entre, grâce à l'aide du député du Sénégal Blaise Diagne, au lycée Louis-le-Grand où il prépare le concours d'entrée à l'École normale supérieure.

 À Louis-le-Grand, il côtoie Paul Guth, Henri Queffélec, Robert Verdier et Georges Pompidou, avec qui il se lie d'amitié.

Il y rencontre également Aimé Césaire pour la toute première fois.

Après un échec au concours d'entrée, il décide de préparer l'Agrégation de grammaire.

Pour l'agrégation, il fait une demande de naturalisation.

Il obtient l'agrégation de grammaire en 1935. Senghor fut donc le premier Africain agrégé de grammaire.

Il débute sa carrière de professeur de lettres classiques au lycée Descartes à Tours, puis est muté, en octobre 1938, au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés, dans la région parisienne (une stèle y commémore son passage).

 Outre ses activités d'enseignant, il suit des cours de linguistique négro-africaine dispensés à l'École pratique des hautes études et ceux de Marcel Cohen, Marcel Mauss et de Paul Rivet à l'Institut d'ethnologie.

En 1939, Senghor est enrôlé comme fantassin dans un régiment d'infanterie coloniale, régiment composé d'Africains, malgré la naturalisation de Senghor en 1932.

Le 20 juin 1940, il est arrêté et fait prisonnier par les Allemands à La Charité-sur-Loire.

Il est interné dans divers camps de prisonniers.

 Les Allemands voulaient le fusiller le jour même de son incarcération ainsi que les autres soldats noirs présents car un officier français leur fait comprendre qu'un massacre purement raciste nuirait à l'honneur de la race aryenne et de l'armée allemande.

 Senghor passera deux ans dans les camps de prisonniers, temps qu'il consacrera à la rédaction de poèmes.

Il reprend ses activités d'enseignant et participe à la résistance 

 dans le cadre du Front national universitaire.

Au lendemain de la guerre, il devient communiste et reprend la chaire de linguistique à l’École nationale de la France d'outre-mer qu'il occupera jusqu'à l'indépendance du Sénégal en 1960.

 

Le 12 septembre 1946, Senghor se marie avec Ginette Éboué (1923-1992), attachée parlementaire au cabinet du ministre de la France d'Outre-mer et fille de Félix Éboué, ancien gouverneur général de l'Afrique-Équatoriale française; avec qui il eut deux fils, Francis-Arphang (né le 20 juillet 1947) et Guy-Wali (né le 28 septembre 1948, décédé en 1983 à la suite d'une chute du cinquième étage de son appartement de Paris. Il lui consacrera le poème « Chants pour Naëtt » repris dans le recueil de poèmes « Nocturnes » sous le titre « Chants pour Signares ».

Fort de son succès, il quitte l'année suivante la section africaine de la section française de l'Internationale ouvrière  et fonde avec Mamadou Dia le Bloc démocratique sénégalais (1948), qui remporta les élections législatives de 1951.

Au début des années 1950, il est un partisan de l'intégration de l'Afrique française dans la  Communauté européenne fédérale.

 Réélu député en 1951 comme indépendant d'Outre-mer, il est secrétaire d'État à la présidence du Conseil dans le gouvernement Edgar Faure de mars 1955 à février 1956, devient maire de Thiès au Sénégal en novembre 1956 puis ministre conseiller du gouvernement Michel Debré, du 23 juillet 1959 au 19 mai 1961.

Il fut aussi membre de la commission chargée d’élaborer la constitution de la Cinquième République, conseiller général du Sénégal, membre du Grand Conseil de l'Afrique occidentale française et membre de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Entre temps, il avait divorcé de sa première femme en 1956 et s'était remarié l'année suivante avec Colette Hubert, une Française originaire de Normandie, avec qui il eut un fils, Philippe-Maguilen (17 octobre 1958 - 4 juin 1981), décédé accidentellement à Dakar.

Il consacrera le recueil « Lettres d'Hivernage » à sa seconde femme. Senghor fait paraître en 1964 le premier d'une série de cinq volumes intitulée « Liberté ». Ce sont des recueils de discours, allocutions, essais et préfaces.

Senghor est un fervent défenseur du fédéralisme pour les États africains nouvellement indépendants. Le 13 janvier 1957, une « convention africaine est créée.

Élu le 5 septembre 1960, Senghor préside la toute nouvelle République du Sénégal.

Il est l'auteur de l'hymne national sénégalais, le Lion rouge.

 Le Président du Conseil de Gouvernement, Mamadou Dia, est chargé de la mise en place du plan de développement à long terme du Sénégal tandis que Senghor est chargé des relations internationales.

Il démissionne de la présidence, avant le terme de son cinquième mandat, en décembre 1980.

Abdou Diouf, Premier ministre, le remplace à la tête du pouvoir, en vertu de l'article 35 de la Constitution.

Sous la présidence de Senghor, le Sénégal a instauré le multipartisme (limité à trois courants : socialiste, communiste et libéral, puis quatre, les trois précédents étant rejoints par le courant conservateur), ainsi qu'un système éducatif performant. Senghor est souvent reconnu pour être un démocrate.

Il soutient la création de la Francophonie et fut le vice-président du Haut-Conseil de la Francophonie.

En 1962, il est l'auteur de l'article fondateur « le français, langue de culture » dont est extraite la célèbre définition : « La Francophonie, c'est cet Humanisme intégral, qui se tisse autour de la terre ».

Il est considéré, avec Habib Bourguiba (Tunisie), Hamani Diori (Niger) et Norodom Sihanouk (Cambodge),

 comme l'un des pères fondateurs de la Francophonie.

En 1971, Sedar Senghor devient le parrain de la Maison des droits de l'homme et de la négritude à Champagney en Haute-Saône. Musée d'une ville qui fut la seule à écrire un cahier de doléance pour l'abolition de l'esclavage.

Après avoir été désigné Prince des poètes en 1978, il est élu à l'Académie française le 2 juin 1983 où il succède au duc de Lévis-Mirepoix.

Il est le premier Africain à siéger à l'Académie française, celle-ci poursuivant ainsi son processus d'ouverture après l'entrée de Marguerite Yourcenar. La cérémonie par laquelle Senghor entre dans le cercle des immortels a lieu le 29 mars 1984, en présence de François Mitterrand.

En 1993, paraît le dernier volume des « Liberté » : « Liberté 5 : le dialogue des cultures ».

Malade, Senghor passe les dernières années de son existence auprès de son épouse en Normandie, où il décède le 20 décembre 2001.

Ses obsèques ont lieu le 29 décembre 2001 à Dakar.

Sa poésie, essentiellement symboliste, fondée sur le chant de la parole incantatoire, est construite sur l'espoir de créer une Civilisation de l'Universel, fédérant les traditions par-delà leurs différences. Senghor a estimé que le langage symbolique de la poésie pouvait constituer les bases de ce projet.

Il fit également partie des premiers comités de la Société des poètes et artistes de France dans les années 1950 et 1960.

Dans les années 1930, il se lie avec d'autres intellectuels de la diaspora d'Afrique notamment à travers la Revue du monde noir et le salon littéraire de Paulette Nardal. Il y côtoie Jean Price Mars, René Maran, Aimé Césaire, Léon-Gontran Damas, et d'autres intellectuels noirs.

Alors qu'il était étudiant, il créa en compagnie du martiniquais Aimé Césaire et du guyanais Léon Gontran Damas la revue contestataire L'Étudiant noir en 1934.

C'est dans ces pages qu'il exprimera pour la première fois sa conception de la négritude, notion introduite par Aimé Césaire, dans un texte intitulé « Négrerie ».

 Césaire la définit ainsi : « La Négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture ».

Quant à lui, Senghor affirme: « la Négritude, c’est l’ensemble des valeurs culturelles du monde noir, telles qu’elles s’expriment dans la vie, les institutions et les œuvres des Noirs. Je dis que c’est là une réalité : un nœud de réalités ».

Cher frère blanc,
Quand je suis né, j’étais noir,
Quand j’ai grandi, j’étais noir,
Quand je suis au soleil, je suis noir,
Quand je suis malade, je suis noir,
Quand je mourrai, je serai noir.

Tandis que toi, homme blanc,
Quand tu es né, tu étais rose,
Quand tu as grandi, tu étais blanc,
Quand tu vas au soleil, tu es rouge,
Quand tu as froid, tu es bleu,
Quand tu as peur, tu es vert,
Quand tu es malade, tu es jaune,
Quand tu mourras, tu seras gris.

Alors, de nous deux,
Qui est l’homme de couleur ?

Avant la nuit, une pensée de toi pour toi, avant que je ne tombe
Dans le filet blanc des angoisses, et la promenade aux frontières
Du rêve du désir avant le crépuscule, parmi les gazelles des sables
Pour ressusciter le poème au royaume d’Enfance.

Elles vous fixent étonnées, comme la jeune fille du Ferlo, tu te souviens
Buste peul flancs, collines plus mélodieuses que les bronzes saïtes
Et ses cheveux tressés, rythmés quand elle danse
Mais ses yeux immenses en allés, qui éclairent ma nuit.

La lumière est-elle encore si légère en ton pays limpide
Et les femmes si belles, on dirait des images ?
Si je la revoyais la jeune fille, la femme, c’est toi au soleil de Septembre
Peau d’or démarche mélodieuse, et ces yeux vastes, forteresses contre la mort.

Quelques photos :

 Après un départ difficile du au "mauvais temps de ce printemps ....

mes piments d'Espelette commencent enfin à murir !!!!

Voici ma production,

en jardinière,

sur le bord de mes fenêtres !!

Plus rien à voir avec celle que j'avais sur les balcons avant mon déménagement .....

Le piment d'Espelette  est un produit agricole cultivé au Pays basque.

Il tire son appellation d'origine de la commune d'Espelette.

La plante est d'abord utilisée en médecine puis, très vite, comme succédané du poivre noir, condiment et conservateur des viandes.

À partir du mois de septembre, le village d'Espelette devient pittoresque

 avec des guirlandes de piments sur les façades et les balcons des maisons : après leur récolte, il faut les laisser sécher avant de les réduire en poudre ....

Et dans les plats .... hum !!! Un régal !!!!

BISOUS ET BONNE JOURNEE !!!!

 

Commentaires

wolfe le 14-10-2013 à 20:30:06
Bonsoir

J'espère que tu vas bien!

Moi je suis fatiguée dernièrement et j'ai du mal à dormir en plus!

Bisous


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fanfan76 le 14-10-2013 à 14:21:50
Bonjour Heremoana, il fait un temps épouvantable avec de nombreuses averses;

Je te souhaite une bonne semaine. Bisous. fanfan.
472481 le 14-10-2013 à 11:54:32
Bonjour ma belle,


pour le moment chez moi il fait de nouveau doux le soleil est aussi présent il ni y a plus cas souhaiter que ça dure ! lol

Rentre tes piments si tu veut y goûter ! sourire.

Je te souhaite à mon tour un agréable début de semaine.

Gros bisous tendresse

Nanou


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lafianceedusoleil le 13-10-2013 à 21:31:53
bonsoir ma douce Heremoana,

j'espère que tu as passé un excellent week-end.

Cet après-midi, j'étais à la Cigale pour un récital gratuit avec Alain Chamfort, il a chanté près de deux heures. J'étais sous le charme.

Bonne semaine ma jolie.

je t'embrasse très fort.

Cricri


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tendremamie le 13-10-2013 à 14:11:13
tous les ans je m'en procure par l'école qui a un non voyant qui habite pas loin d'Espelette et qui en procure à ceux qui passent commande c'est un merveilleux condiment.....j'en met aussi quelque fois dans la soupe pour changer le goût.

Hebergement d'image gratuit


bonne semaine et gros bisous à toi nous avons déjà fait notre petite ballade et crois mùoi dehors il fait très frais 5° bizzzzzz
Yvandesbois le 12-10-2013 à 12:57:30
bonjour je trouve le poème :frère blanc super de réalité et lien d'humour a + y 2 b
miou14 le 12-10-2013 à 09:56:13
Bonjour Heremoana, me revoila avec un PC rajeuni qui j'espère va bien se comporter, ces échanges et bavardages m'ont manqués.

Léopold Senghor a passé les dernières années de sa vie pas trés loin de chez moi, tu lui rends un bien bel hommage.

Bon weekend à bientôt je t'embrasse
johnmarcel le 12-10-2013 à 09:29:18
C'est où Espelette me demande ma femme en voyant la photo des piments.

Des piments en France, est-ce possible ?

On va donc sur wikipedia, on trouve Espelette et on clique sur Bahasa Indonesia à droite.

L'article en indonésien est moins détaillé mais on y trouve quelques lignes sur le piment d'Espelette.
christineb le 11-10-2013 à 20:47:41
Félicitation pour la photo du jour et merci pour les poèmes de Senghor!

Rentre vite tes piments, le froid arrive!
harfang le 11-10-2013 à 14:27:33
ahhhhhh le pays de qui tu sais ! en plus c'est un très joli village. Les tresses de piments pendent de partout. J'adore ce piment qui n'arrache pas comme on dit.

Alors ma belle, je vois que tu croules encore sous le boulot... quelle galère. Vivement le déménagement déjà.

Tu as vu ce temps de m.... ? ça ne donne pas envie de sortir. Et c'est tant mieux car I. travaille samedi.

Aller, plein de bises en pagaille pour tenir le we.
fanfan76 le 11-10-2013 à 13:46:27
Bonjour Heremoana, très beau portrait complet de Shangor, j'aime beaucoup frère blanc, c'est très juste ce qu'il en déduit!

C'est bon le piment d'Espelette, j'aime la photo avec celui qui est d'une très jolie couleur orange, ça doit-être très beau en septembre le village d'Espelette avec les façades décorées de cet épice!

BRAVO pour la photo du jour. Bises et bon week-end. fanfan
Kriemhild le 11-10-2013 à 12:24:56
Bonjour !


Toutes mes félicitations pour la photo du jour !

Moi des poivrons, j'en ai plein, mais ils sont encore verts...


Bonne journée
lectrice44 le 11-10-2013 à 10:25:04
Eh ! bien je viens d'en apprendre sur Léopold Sédar Senghor, j'ignorai, pratiquement, tout de sa vie à part qu'il avait été écrivain.

Je suis allée en vacances au pays Basque, voici quelques années et bien sûr, je suis allée à Espelette. Je t'embrasse et je te souhaite un bon vendredi.
472481 le 11-10-2013 à 10:17:22
Bonjour ma belle,


c'est un bel article que je viens de lire je ne connaissais pas du tout se poète ça vie est chargé d'histoire.

Le piment d'Espelette je connais bien et le village aussi avec ça fête et ces belle façade de maison rouge avec tous les piments j'y ai assisté une fois que de monde, mais gégnial.

Je te souhaite une bonne fin de semaine.

Gros bisous frisquet

Nanou


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gegedu28 le 11-10-2013 à 09:40:44
Bonjour Heremoana,

Et bien aujourd'hui la Photo du Jour est bien pimentée ! Lol

Au moins tu utilises ton balcon à bon escient ! A quand le séchage de tes piments ?



Moi j'ai toujours trouvé qu'on pouvait mixer fleurs et légumes dans un jardin, alors pourquoi pas sur un balcon, surtout les plantes aromatiques.

L'an prochain, tu mets des tomates ? ... cerises !

Allez, j'arrête de te taquiner, mais je ferais de même si j'étais à ta place, un balcon bien garni.

Bien que le week-end ne s'annonce pas des plus beaux, je te le souhaite agréable quand même.

Amicalement,

Gérard
lafianceedusoleil le 11-10-2013 à 09:18:16
Bonjour ma petite Heremoana,

bel hommage à Léopold Senghor, surtout que je vais une semaine au Sénégal en janvier prochain, devine pour trouver le soleil et la chaleur.

Toutes mes félicitations pour la photo du jour. smiley_id117199smiley_id117184smiley_id117208smiley_id172957smiley_id118473


Je te souhaite une bonne fin de semaine.

Je t'embrasse très fort.

Cricri


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MonnaiesAnciennes le 11-10-2013 à 08:43:35
Bonjour et bravo pour la photo du jour, passe une bonne journée

amicalement

gege66
obeline80 le 11-10-2013 à 06:57:39
smiley_id117197smiley_id117184 pour la photo du jour !
obeline80 le 11-10-2013 à 06:37:40
coucou heremoana je passe te souhaiter un bon week end, il ne va pas faire bien chaud bisous
jakin le 11-10-2013 à 02:49:13
Bonjour Heremoana, excellent papier sur Sanghor....J'adore ces piments....

Jakin, smiley_id210602
Ramona le 10-10-2013 à 10:57:59
Hommage à un grand homme. J'aime sa prose.

Ils sont chouettes tes piments. En Italie ils servent aussi d'ornement sur les balcons.

Ici aussi ciel bas, mais pas encore de pluie. Pfff... l'hiver arrive !

Bonne journée.

Bisous Katy.