VEF Blog

Titre du blog : heremoana
Auteur : heremoana
Date de création : 19-01-2009
 
posté le 12-03-2011 à 18:05:55

Soleil et nuages .....

 

 

 

 

 

 

Samedi 12 Mars

 

 

 

 

 

Dictons du jour :

"À la saint Grégoire, tailler sa vigne, c'est de l'or".
"A la Saint Grégoire, tonds le mouton".
"À la saint Marius on voit clair à l'angélus".
"À la sainte Justine, toute fleur s'incline". 
"Quand le froid à la saint Marius frappe, la charrette dérape".
"Si tu veux m'en croire, à la Saint Grégoire taille la vigne pour boire".

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aujourd'hui on fête les

Atala, Atale, Athalie, Bernard, Grégoire, Justina, Justine, Justinien, Justyne, Marius, Pol, Tangi, Tangui, Théophane

 

Sainte Justine est la patronne des Musiciens, Enseignants

 

 

 

 

 

 

 

Naissances célèbres :

1613 : Le dessinateur de jardins et architecte français André Le Nôtre

1760: Camille DESMOULINS
1902
: Jean Mineur, pionnier de la publicité au cinéma

1918 : Pierre-Jean Vaillard, chansonnier, écrivain, auteur d'aphorismes, comédien de théâtre et de radio, il a été à l'origine avec Jacques Canetti, de la fondation, en 1943, du théâtre des Trois-Baudets à Alger

1922 : Naissance de Jack Kérouac, écrivain et père de la «beat generation».

1946 : L'actrice et chanteuse américaine Liza Minelli

1951 : Denis la Malice, personnage de BD. Le créateur, Hank Ketchum, s'est inspiré de son propre fils, Denis.
1957 : Steve Harris du groupe Iron Maiden

 

1969: Graham Coxon, dit Graham BLUR

1973 : Annie Dufresne


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Décès célèbres :

1914 : Décès de George Westinghouse - 67 ans - inventeur et industriel. Sa première invention d’importance est le frein à air, qu’il a mis au point en 1869

1945 : Anne Frank meurt dans le camp de concentration, à Bergen-Belsen. Anne Frank, fille d'un banquier juif, écrivit les notes de son journal qui deviendra célèbre, racontant la période de sa vie cachée à Amsterdam, pendant l'occupation allemande

1955 : Charles Christophe "Bird" Parker (Charlie Parker), saxophoniste. The Bird, comme l'appelait affectueusement ses admirateurs, a révolutionné la musique de jazz en créant un nouveau style, le be-bop. C'est seulement après sa mort qu'il devint une légende du jazz.




 

 

 

 

 

 

 

 

 

1610 : Galilée publie Sidereus Nuncius « Le Messager céleste » dans lequel il décrit les observations faites avec son télescope et révolutionne l’astronomie.
1672 : On trace les premières rues à Montréal
1832 : Maria Taglioni est la première ballerine à danser sur des pointes à l'Opéra de Paris pour une représentation de la Sylphide. Le chorégraphe n'est autre que son père. Ils lancent le ballet romantique plein d'arabesques gracieuses et de sauts. Elle sera aussi la première à porter un "tutu", une robe de mousseline légère qui s'arrête à 30 centimètres du sol. S'il est encore loin de celui que l'on connaît à l'heure actuelle, il permet de libérer les danseuses jusqu'alors engoncées dans des costumes qui entravent leurs mouvements. Les pointes et le tutu vont transformer le ballet.

1848: Abolition des châtiments corporels.

1894 : La première bouteille de Coca-Cola est vendue.

1930 : L'enseignement secondaire devient gratuit en France.
1948 : Création du groupe de motards les «Hell's Angels».

1955 : Premier vol de l'hélicoptère Alouette II.

1969 : MRS. ROBINSON de Simon and Garfunkel a droit au titre de disque de l'année lors de la remise des prix Grammy.

 

1970 : 1er Turbo-Train mis en service sur Paris-Caen
1994 : L'Eglise anglicane ordonne 32 femmes prêtres

2008 : Première journée internationale pour la liberté d'expression sur Internet

 

 

 

 

 

 

Instant nostalgie :

2007

en France "Mauvaise foi nocturne" de Fatal Bazooka

en Angleterre "Shine" de Take That

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jack Kerouac, né le 12 mars 1922 à Lowell, dans le Massachusetts, mort le 21 octobre 1969 à St. Petersburg en Floride est un écrivain et poète américain.

Considéré aujourd'hui comme l'un des auteurs américains les plus importants du XXe siècle, il est même pour la communauté beatnik le « King of the Beats ».

 

Jack Kerouac a passé la majeure partie de sa vie partagé entre les grands espaces américains et l'appartement de sa mère à Lowell. Ce paradoxe est à l'image de son mode de vie : confronté aux changements rapides de son époque, il a éprouvé de profondes difficultés à trouver sa place dans le monde, ce qui l'a amené à rejeter les valeurs traditionnelles des années 1950, donnant ainsi naissance au mouvement des beatniks.

Ses écrits reflètent cette volonté de se libérer des conventions sociales étouffantes de son époque et de donner un sens à son existence.

Un sens qu'il a cherché dans des drogues comme la marijuana et la benzédrine, dans l'alcool également, dans la religion et la spiritualité et dans une frénésie de voyages.

« Jazz poet » comme il se définit lui-même, Kerouac vante les bienfaits de l'amour.

Il proclame l'inutilité du conflit armé, quel qu'il soit, et considère que « seuls les gens amers dénigrent la vie ».

Jack Kerouac et ses écrits sont vus comme précurseurs du mode de vie de la jeunesse des années 1960, celle de la Beat Generation, « qui a ébranlé la société américaine dans ses certitudes.

Elle a directement inspiré aussi bien les mouvements de mai 1968 que l’opposition à la guerre du Vietnam, ou les hippies de Berkeley et Woodstock. 

 

 

Né Jean-Louis Kerouac, Jack Kerouac est issu d'une famille canadiens français de parents québécois originaires de Bretagne. Son père, Léo Keroack (1889-1946), patronyme qu'il modifie en « Kerouac » lors de son arrivée aux États-Unis, est imprimeur.

Jusqu'à l'âge de 6 ans, Jack Kerouac ne parle que le français et il apprend l'anglais comme seconde langue à l'école.

À 4 ans, il assiste à la mort de son frère aîné Gérard, alors âgé de 9 ans, atteint d'une fièvre rhumatismale. Cette mort est comme « une plaie qui ne se refermera jamais » et qui, plus tard, le conduit à écrire Visions de Gérard en janvier 1956

 

Grâce à l'activité de son père, Jack Kerouac est introduit dans le milieu culturel et littéraire de la ville.

Jack dispose d'une grande mémoire, mais il est également très doué pour le sport, le base-ball et la course à pied avant tout.

Son professeur d'anglais le déclare « brillant » et, à 11 ans, Kerouac écrit un petit roman, dans la veine de Huckleberry Finn intitulé Mike Explores the Merrimack.

La nuit cependant l'angoisse et, très tôt, Kerouac se réfugie dans l'écriture. Il produit à 11 ans des bandes dessinées humoristiques, pétri qu'il est des polars radiophoniques, dans lesquelles il prête vie au « Docteur Sax », qui est son double fabuleux, sans ses peurs nocturnes.

Mais ses peurs s'accentuent à mesure que les affaires de son père périclitent. Celui-ci se met en effet à boire et à jouer. La famille déménage dès lors sans cesse, influençant considérablement ce qui sera plus tard le caractère itinérant de Kerouac.

À 14 ans, Jack se retrouve seul à la maison. Il est intensément chéri par sa mère.

Il devient aussi un athlète accompli mais reste renfermé et introverti. Il a des rapports souvent conflictuels avec ses camarades de classe et de stade.

À cet âge, Kerouac ambitionne d'écrire alors qu'une carrière sportive s'ouvre à lui. Ses prouesses athlétiques en font en effet une « star » dans son équipe locale de football américain.

Il fréquente le milieu des bourgeois juifs. Il fait ainsi la connaissance du Londonien Seymour Wyse qui lui fait découvrir le jazz qui est pour Jack une véritable révélation.

Il fréquente les caves d'Harlem où se produisent les stars du jazz, Charlie Parker et Dizzy Gillespie notamment, et en particulier son idole, Count Basie. Le jazz devient pour lui une religion, il est en effet  "le premier à entrevoir comment le jazz peut influer sur la vie, être le moteur d'une écriture".

À 18 ans, il entre à l'université Columbia. Il obtient une bourse grâce à son succès au football américain, mais lors d'une rencontre, il subit une fracture au tibia qui l'empêche de terminer la saison sportive. Forcé de se reposer, il lit abondamment et va au cinéma. Il écrit aussi et rêve de héros vagabonds en marge de la société.

Kerouac goûte aussi à la drogue et à la prostitution ;

Kerouac se marie à Edie Parker le 22 août 1944. Il travaille, grâce au père de sa femme, comme vérificateur de roulements à billes. Mais, secrètement, Kerouac continue à écrire et il entrevoit très vite que cette vie ne le comble pas et nuit même à sa créativité.

Il retourne donc sans prévenir quiconque à New York au cours de l'hiver 1944—1945 et rejoint une petite communauté.

À 24 ans, Kerouac renoue avec une vie dissolue, fréquentant chaque nuit les bars de la ville

L'état physique de Kerouac se dégrade à vue d'œil. En 1946, son père, Léo, meurt d'un cancer du pancréas.

Kerouac devient dès cette année « de plus en plus Kerouac », continuant de se nourrir de tonnes de livres. Ses écrits deviennent davantage autobiographiques, travaillant frénétiquement au manuscrit de Sur la route

Cette « écriture introspective l'amène à s'interroger sur les fondements de son mal de vivre » et Kerouac se rend compte qu'il a « un désir subconscient d'échouer, une sorte de vœu de mort ».

Ses allers et venues au domicile de sa mère Gabrielle s'amplifient. À chaque contrariété, Kerouac consulte sa mère, ce qui a pu contribuer à l'empêcher de vivre avec une femme.

En compagnie de ses amis, Kerouac expérimente d'autres formes d'écritures. Avec William Burroughs, il teste l'écriture à quatre mains, dans Les Hippopotames furent bouillis dans leur bassin alors qu'avec Haldon Chase, il stimule sa créativité en se concentrant longuement sur les personnages, au point de les faire vivre en imagination, puis d'écrire dans la foulée (c'est la méthode de la « Prose Spontanée »).

C'est d'ailleurs en raison de ce mode d'écriture que Kerouac rédige le manuscrit de Sur la route sur des rouleaux de papier non découpés, atteignant des longueurs incroyables, près de 35 mètres. Il voit aussi dans ces rouleaux le symbole de la route sans fin.

 

Kerouac décide de partir à l'aventure. Le 17 juillet 1947, au petit matin, il marche pendant plusieurs kilomètres. Il compte se déplacer en auto-stop. Il se perd à la limite de l'État de New York et subit une pluie violente qui l'oblige à rebrousser chemin. Cet épisode forme l'incipit de son roman Sur la route. Il rentre chez sa mère qui lui donne de l'argent pour repartir, cette fois-ci par autobus, jusqu'à Chicago. Dès lors, l'aventure commence réellement.

 Avant la route est publié. Ce premier ouvrage valut à Kerouac quelques critiques favorables mais les tirages restèrent faibles. À compter de cette date et jusqu’en 1957, Kerouac est rejeté régulièrement par les maisons d'édition. Ses correspondances laissent sur ce point apparaître un réel découragement alors même que son existence prend une tournure de plus en plus chaotique (ses revenus sont très faibles et sa dépendance à l’alcool et aux amphétamines atteint un paroxysme).

Kerouac n'en perd pas pour autant l'énergie d'écrire à un rythme frénétique.

Kerouac bénéficie progressivement de l’intérêt médiatique pour les acteurs de la contre-culture gravitant autour du monde du jazz et de mouvements poétiques californiens et new-yorkais.

A l'automne 1955 ; il participe à l'un des moments fondateurs de la beat generation : la lecture publique à la Six Gallery du poème Howl d'Allen Ginsberg, considéré, avec Sur la route comme l'un des manifestes du mouvement.

Kerouac y fait la rencontre d'un personnage important dans sa vie : Gary Snyder, passionné de randonnées et de philosophie japonaise. « Ensemble, Jack et Gary vont inventer ce qui sera quelques années plus tard le mode de vie des hippies : un couchage dans le sac à dos, quelques maigres provisions, la toilette dans les torrents, la nudité en groupe et l'errance d'un lieu à un autre en toute liberté ».

 

Kerouac s'initie à la méditation et aux haïkus, ces courts poèmes japonais qui évoquent un sentiment, une situation, une atmosphère.

 

La rencontre avec lui-même et avec la simplicité, l'absence d'excès et de drogues ou d'alcool fait que Kerouac se décide à commencer une « vie nouvelle ».

Il voit dans les préceptes chinois et zen le refus de la société de consommation et ce qu'il nomme dans Les Clochards célestes  la « grande révolution des sacs à dos »


Il  trouve un poste de garde forestier pendant la saison des feux de forêts et commence le 25 juin .... Il demeure reclus dans une vigie durant 63 jours. L'expérience de garde forestier est pour lui un désastre, relatée dans Les Anges de la désolation. Il s'ennuie et souffre de solitude, expérience dont il retire le roman Le Vagabond solitaire.

 

Kerouac met cependant fin à toutes ses bonnes résolutions. De retour à San Francisco, il apprend qu'il est de plus en plus lu par la jeune génération et que son nouvel opus, Sur la route est en passe d'être édité.

Le succès est en effet immédiat.

La publication de Sur la route marque un tournant considérable dans la vie de Jack Kerouac, lui apportant la reconnaissance publique et le confort financier qu’il n’avait jamais connu sans pour autant devenir riche.

 

Le roman l’impose  comme porte-parole d’une génération qui a grandi dans l’après guerre en rejetant les valeurs traditionnelles morales et religieuses américaines, la beat generation 

Cette notoriété lui pèse et il boit davantage (près d'1 litre de whisky par jour).

Il s'éloigne aussi de ses amis écrivains beat. Il reproche à Ginsberg de trop rechercher l'attention du public et de trahir l'esprit beat. Même en ayant besoin d'argent, il ne se tourne plus vers eux et ne répond plus aux invitations des médias. Il est également irrité par le développement d'un bouddhisme de mode, qu'il se sent en partie responsable d'avoir crée avec ses romans, et se déclare « fervent catholique ».

En février 1957, Kerouac embarque sur un navire de transport à destination de Tanger, au Maroc. Il a l'intention de visiter ensuite l'Europe mais son séjour en Afrique se passe mal. Il rentre chez sa mère. Alcoolique notoire, Kerouac a des crises de delirium tremens que n'arrangent pas les virulentes critiques dont il est la cible 

Des écrivains portent de sévères critiques à l'encontre du style peu académique de Kerouac.

La publication en 1959 des Clochards célestes renforce la défiance à son égard. Ce livre est reçu comme une œuvre de commande par la critique qui majoritairement l'ignore. Seul l'écrivain Henry Miller défend activement l’ouvrage et l’auteur.

Mais il est surtout largement critiqué par les tenants du bouddhisme américain, qui voient en Kerouac un bouddhiste fort peu convaincant. 

 

Toujours plus accablé par la célébrité, Kerouac participe à des shows télévisés et enregistre même trois albums parlés

Il prend par ailleurs position en faveur de la guerre du Vietnam et se déclare nationaliste et « pro-américain », et ce afin d'éviter toute identification au mouvement hippie, envers lequel il se montre méfiant.

 

En juin 1965, il effectue un voyage en Europe, sur la trace de ses origines bretonnes, épisode qui donne naissance au roman Satori à Paris La recherche de cet ancêtre demeure en effet pour lui une lubie et Kerouac s'imagine beaucoup de choses à son sujet.

La même année est publié l'un de ses premiers roman, Les Anges de la désolation.

En 1968, il met la dernière main à son roman Vanité de Duluoz, publié l'année même, et passe la fin de sa vie en compagnie de sa troisième femme Stella Sampras et de sa mère, seul, loin de ses amis de la beat generation, et dans une situation financière déplorable.

 

Jack Kerouac meurt le 21 octobre 1969, à l'âge de 47 ans, d'hémorragies œsophagiques, la  "mort des alcooliques"

 

 

Doué d'une grande mémoire à tel point que ses amis le surnommaient « memory babe » Kerouac possède un style d'écriture unique, fondé sur la vitesse de frappe à la machine, inspiré du rythme jazz. Il définit les principes de sa « prose spontanée » dans l'article « Essentials of Spontaneous Prose » de la façon suivante : « Pas de pause pour penser au mot juste mais l'accumulation enfantine et scatologique de mots concentrés ».

 

Kerouac cherche à reproduire l'ambiance de ses voyages et de ses rencontres ; pour cela il se détourne des descriptions de la littérature conventionnelle, caractéristiques selon lui d'une « langue morte ». Son style lui est en partie inspiré par son amour du mouvement jazz Be Bop et de ses improvisations.

 

La contribution de Jack Kerouac à la naissance du mouvement littéraire et artistique de la beat generation est double.

D'une part, Kerouac propose son propre sens au terme « beat », forgé par John Clellon Holmes, qui en explicite la signification dans son article « This the Beat Generation »: « être dans la rue, battu, écrasé, au bout du rouleau ».

Kerouac voit en effet dans la beat generation un effort pour abandonner le confort matériel et pour se pénétrer de spiritualité ; le beatnik se devant de demeurer passif à la façon zen.

 

Admirateur d'Arthur Rimbaud (il a en effet rédigé une biographie du poète français), « L'homme aux semelles de vent » en qui il voit le premier « clochard céleste », Kerouac appelle à la redécouverte de la spiritualité et de la mystique, par la liberté de voyage.

 

Fervent catholique, l'écrivain a cependant trouvé dans le bouddhisme, une philosophie de la quête de soi, thème central de la majorité de ses œuvres,

Les allusions et réflexions mystiques et théologiques sont très présentes dans l'œuvre de Kerouac,

 

Le thème du voyage et le roman Sur la route ont influencé nombre d'auteurs et compositeurs comme Bob Dylan (On the road again en 1965) Canned Heat (On the road again en 1968, album Boogie with Canned Heat), Francis Cabrel (Les chemins de traverse, en 1979), Bernard Lavilliers (On the road again, en 1989), Gérald de Palmas (Sur la route, 1990) ou encore Raphaël (Sur la route, 2003).

Bob Dylan est devenu fan de Kerouac dès 1959, à la lecture de Mexico City Blues, comme d'autres chanteurs : Jerry Garcia (fondateur de Grateful Dead), Tom Waits, Jim Jarmusch, Dennis Hopper, Thomas McGuane, Jim Morrison, Richard Hell ou encore Kurt Cobain

Les musiciens Tom Waits, Jerry Garcia, Roy Harper, Ben GibbardBlake Schwarzenbach se revendiquent également de la poésie inspirée de Jack Kerouac.

 

Jack Kerouac a par ailleurs donné son nom à la seconde scène du festival des Vieilles Charrues, se tenant chaque année à Carhaix-Plouguer dans le Finistère.

 

 

Dans un haïku, Jack Kerouac explique la dimension mystique de sa génération :

La Beat Generation
est un groupe d'enfants
sur la route
qui parlent de la fin du monde.

 

 

 

 

 

 

 

 

 Instant expressions du jour :

"Ne pas attacher son chien avec des saucisses"

Etre très sévère

"Etre dans les petits papiers de quelqu'un"

Jouïr de la faveur, de la considération de quelqu'un

 

 

 

 

 

 

 

 

Une heure n'est pas qu'une heure,

c'est un vase rempli de parfums,

de sons, de projets et de climats." 

 Marcel Proust

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

MEXICO CITY BLUES (25th Chorus)


Ne pense pas à la mort
Une fois que tu y es
Parce qu'elle est sans traces
N'ayant pas de trace à suivre
Tu te reposes là où tu es
À l'intérieur de l'essence

Mais dès que je dis essence
Je reprends ce mot
Et cette remarque — l'essence est
Muette, tu ne peux souffler mot,
essence est le mot pour le doigt
qui nous montre un vide clair

Quand nous regardons le visage de Dieu
Nous voyons des rayonnements radieux
Du centre sans milieu
De feu sans-Objet laitance
Dans une étoile-champ toute à elle-même

Est la mienne, est la tienne
N'appartient pas au moi-Propriétaire
Mais trouvée par le Moi-Perdant —
Vieille Doctrine Ancienne


Dont worry about death
Once you're there
Because it is trackless
Having no track to follow
You will rest where you are
In inside of the essence

But the moment I say essence
I draw that word back
And that remark — essence's
Unspoken, you cant say a word,
essence is the word for the finger
that shows us bright blankness

When we look into the God face
We see radiant irradiation
From middleless center
Of Objectless fire roe-ing
In a fieldstar all its own

Is my own, is your own,
Is not Owned by Self-Owner
but found by Self-Loser —
Old Ancient Teaching

 

 

JACK KEROUAC

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Terribles ces scènes transmises par la tv hier soir .......

Terribles ce déchainement de la Nature contre lequel l'Homme ne peut rien .....

Que d vies humaines envolées .....

Que de tristesse !!!!!!

Quelle horreur ......

 

 

 

 

Commentaires

lafianceedusoleil le 12-03-2011 à 20:47:17
bonsoir Miss,

j'ai appris par ton commentaire laissé chez moi, qu'il pleuvait. Je viens d'aller sur le balcon. Oui, il pleut, je m'en étais pas aperçue. Quand, je suis sortie en fin de matinée, il faisait bon. Suis allée à Conforama et au marché.

Je te souhaite une bonne fin de soirée.

Je t'embrasse

Cricri


Cliquez ici pour voir mon image
472481 le 12-03-2011 à 18:32:14
Bonsoir ma belle,

le temps ce déchaîne et le monde vas à la dérive c'est ma conviction quand comment mais rien de bon nous attend j'en ai bien peur.

Gros bisous du soir.

Nanou

hebergeur d'image