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Titre du blog : heremoana
Auteur : heremoana
Date de création : 19-01-2009
 
posté le 02-03-2011 à 08:17:09

Froid ..........................

 

 

 

 

Mercredi 2 Mars

 

 

 

 

Dicton du jour

"A la saint Jacob, dans nos pays, les pies commencent leurs nids".

 "A la saint Jacob, on tond le belin".

 

 

 

 

 

 

 

 

Aujourd'hui on fête les

Jacob

 

 

 

 

 

Naissances célèbres :

1760 : Camille Desmoulins

1942 : Luc Plamondon, auteur, entre autre des textes de Starmania (musiques de Michel Berger) et Notre Dame de Paris.

1945 : Christian Morin, animateur de télévision.
1944 : Lou Reed, chanteur.


1949 : Alain Le Govic, dit Alain Chamfort, chanteur.
1952 : Thierry Le Luron, imitateur, chanteur, animateur de radio.
1956 : Mark Evans du groupe AC/DC


1962 : John Francis Bongiovi, dit Jon Bon Jovi, chanteur

 

 

 

 

 

 

 

 

Décès célèbres :

1991 : Lucien Ginsburg, alias Serge Gainsbourg, auteur-compositeur-interprète (les sucettes à l'anis, couleur café, Lemon incest...), acteur et réalisateur (Je t'aime moi non plus)

 

 

 

 

 

 

Instant nostalgie :

1969

en France le Casatchok de Dimitri Dourakine

 

 

Que de souvenirs sur cette chanson !!! mes premières "boums", mon plaisir de danser, peut être aussi desorigines très lointaines qui remontaient à la surface ..... En tout cas, je m'éclatais ......

 

 

 

 

 

 

 

 

20 ANS DEJA !!!!!!!!!!!!!!!

 

Fils d'immigrants russes juifs, il voulut d'abord devenir artiste-peintre. Il devint célèbre en tant qu'auteur-compositeur-interprète qui aborda de nombreux styles musicaux, ainsi que le cinéma et la littérature.

Ses débuts sur scène furent difficiles, en raison de son physique. Toute sa vie, Serge Gainsbourg souffrit de ce sentiment de rejet et de l'image que lui renvoyait son miroir : celle d'un homme que l'on qualifiait de laid. Il a réalisé plusieurs films et vidéo-clips et composé plus de quarante musiques de films.

Enfin, il s'est créé l'image d'un poète maudit et provocateur, mais pas pour autant en marge du système (« J'ai retourné ma veste quand je me suis aperçu qu'elle était doublée de vison », déclarera-t-il). Les textes de ses chansons jouent souvent sur le double sens et illustrent son goût pour la provocation, en particulier polémique (Lemon Incest)

ou érotique (Love on the Beat).

 Serge Gainsbourg aime également jouer avec les références littéraires comme Alphonse Allais (l'Ami Caouette ou Verlaine (Je suis venu te dire que je m'en vais).

 

Cependant il considérait la chanson, et en particulier les paroles de chanson, comme un "art mineur" du fait que, contrairement à la peinture par exemple, il ne nécessite aucune initiation pour être apprécié.

 

De relations en relations, Gainsbourg séduira de très jolies femmes, de Brigitte Bardot à  Bambou , Caroline Paulus de son vrai nom, qui lui donnera son dernier enfant, Lucien, « Lulu », en passant par Jane Birkin, avec qui il aura sa fille Charlotte Gainsbourg.

 

Gainsbourg a eu une influence considérable sur des artistes français comme Taxi Girl, Renaud ou encore Étienne Daho mais également sur des artistes internationaux tels que Beck, Portishead et le compositeur David Holmes

 

Son père, Joseph Ginsburg, d'abord intéressé par la peinture, était entré au Conservatoire de Petrograd, puis à celui de Moscou pour étudier la musique : il y avait choisi le piano. Puis, en Crimée, il devait rencontrer Olia Besman, une séduisante mezzo-soprano qui deviendra son épouse. C'est en 1919 que Joseph et Olga quittent la Russie pour Paris, fuyant la guerre, le bolchevisme et l'antisémitisme.

Joseph est pianiste de bar et de cabaret, Olga chante au conservatoire russe. Ils vivent rue de la Chine dans le 20e arrondissement de Paris.

Ils ont un premier fils, Marcel, qui meurt en bas âge de maladie. Ils auront ensuite une fille, Jacqueline, en 1926, puis des faux jumeaux, Liliane et Lucien, en 1928. La famille Ginsburg obtient la nationalité française le 9 juin 1932.

 

Dans son enfance, le petit Lucien vit à Paris dans les quartiers populaires, dans le 20e puis le 9e arrondissement. Son père tente de lui apprendre le piano classique et le pousse vers le monde de la peinture.

Les années de la guerre sont difficiles : il est obligé de porter l'étoile jaune (« Une étoile de shérif », dira-t-il plus tard par dérision, ou « Je suis né sous une bonne étoile ... jaune »). Il devra même se cacher trois jours durant dans une forêt tandis que les SS recherchent les Juifs.

La famille se réfugie en province, dans un village de Haute-Vienne sous le nom de Guimbard.

Durant la guerre, la famille Ginsburg s'est vue retirer entièrement la nationalité française par une commission spéciale mise en place par le régime de Vichy, au motif qu'ils sont « israélites sans intérêt national ».

De retour à Paris après la libération, la famille s'installe dans le <abbr>XVI</abbr>e arrondissement de Paris.

Lucien est en échec scolaire et abandonne peu avant le bac. Il s'inscrit alors aux Beaux-Arts mais est rebuté par les hautes études mathématiques et abandonne.

Il rencontre là en 1947, Élisabeth Levitsky, fille d'aristocrates russes qui a des accointances avec les surréalistes et qui devient sa compagne jusqu'à leur mariage le 3 novembre 1951.

L'année 1948 est une année importante pour Lucien, qui fait son service militaire à Courbevoie, où il sera envoyé régulièrement au trou pour insoumission. Il commence là sa « période » éthylique ; privé de permission, il s'enivre au vin avec ses camarades de régiment. C'est également durant cette période qu'il apprend à jouer de la guitare.

 

Jusqu'à l'âge de trente ans, Serge Gainsbourg vit de petits boulots. Il est tour à tour professeur de dessin, de chant, surveillant… Mais son activité principale est la peinture. Il aurait aimé être un génie de la peinture ..... il abandonne rapidement la bohème pour devenir crooner de piano-bar

Il a une révélation en voyant Boris Vian  qui écrit et interprète des textes provocateurs, drôles, cyniques, loin des vedettes du moment, comme Dario Moreno ou Annie Cordy. Plus tard, engagé comme pianiste d'ambiance par Francis Claude, directeur artistique du cabaret, Serge Gainsbourg accompagnera à la guitare la chanteuse Michèle Arnaud.

En 1957, c'est par hasard que Michèle et Francis découvrent avec stupéfaction les compositions de Gainsbourg en allant chez lui voir ses toiles. Le lendemain, Francis Claude pousse sur scène Serge qui, mort de trac, interprétera son propre répertoire (y compris Le poinçonneur des lilas).

Puis Claude le présente dans son émission sur Paris-Inter le 5 janvier 1958. Michèle Arnaud  sera d'ailleurs la première interprète de Serge.

Il commence à déposer ses titres à la SACEM. Elle enregistrera, dès 1958, les titres La Recette de l'amour fou, Douze Belles dans la peau, Jeunes Femmes et vieux messieurs et La Femme des uns sous le corps des autres. Il se lance aussi dans sa course effrénée aux femmes, qu'il séduit en grand nombre, ce qui l'éloigne de son épouse, Elizabeth Levitzky, dont il divorce en octobre 1957.

 

Il entre en studio et commence sa fructueuse collaboration avec Alain Goraguer, déjà arrangeur de Boris Vian.

Son premier album, Du chant à la une d'où est extrait Le Poinçonneur des Lilas, premier succès en 1958, détonne mais est un échec commercial.

Il est remarqué par Marcel Aymé, qui dit que ses chansons « ont la dureté d'un constat ». Son maître Boris Vian, avant de mourir en 1959, le compare à Cole Porter.

 

Lorsque l'époque des yéyés arrive, il est alors âgé de 32 ans, il n'est pas très à l'aise : il passe en première partie de Brel ou de Gréco, mais le public le rejette et les critiques, cruelles, se moquent de ses grandes oreilles et de son nez proéminent.

Débute, avec Gréco, une collaboration qui durera durant toute cette période "Rive Gauche", dont le point d'orgue sera "La Javanaise" à l'automne 1962.

Il fera en 1964 quelques duos avec l'artiste Philippe Clay auquel il ressemble alors de façon troublante.

Il rencontre alors Elek Bacsik et Michel Gaudry et leur demande de faire un disque avec lui. Ce sera Gainsbourg Confidentiel empreint d'un jazz archimoderne qui plaisait tant à Gainsbourg, mais qui, il le sait, ne lui permettra jamais d'atteindre le succès. Ce disque ne se vend qu'à 1 500 exemplaires. Sa décision était prise dès la sortie du studio : « Je vais me lancer dans l'alimentaire et m'acheter une Rolls ». Malgré tout, son album suivant, Gainsbourg Percussions, inspiré des rythmes africains de Miriam Makeba et Babatunde Olatunji, reste encore à l'écart de la vague yéyé qui apparaît et fera la fortune de Gainsbourg.

 

Les années 1970 sont marquées par l'écriture et la composition de quatre albums phares : Histoire de Melody Nelson en 1971, Vu de l'extérieur (et son tube Je suis venu te dire que je m'en vais) en 1973, Rock around the bunker en 1975, et L'Homme à tête de chou avec ses sulfureuses Variations sur Marilou en 1976. Si, au départ, ces albums rencontrent peu de succès commercial (les ventes plafonnent à 30 000 exemplaires), ils le hissent à l'avant-garde de la chanson française. Histoire de Melody Nelson est accueilli par la presse comme « le premier vrai poème symphonique de l'âge pop » Avec Rock around the bunker il pousse la provocation à son comble  L'album, enregistré à Londres, est radicalement rejeté par les programmateurs de radio qui ne voient dans cette farce à la Boris Vian qu'une provocation scandaleuse avec des titres comme Nazi rock, SS si bon ou Tata teutonne. Pourtant, à la fin de la décennie 1980, cet album sera couvert de disques d'or.

 

Il compose également des tubes comme L'Ami Caouette. En 1979, il rejoint le groupe rock Bijou sur scène et verse une larme : le jeune public rock lui fait une ovation.

En mai 1973, Serge Gainsbourg est victime d'une crise cardiaque, et la transforme en élément promotionnel en annonçant à la presse, depuis son lit d'hôpital, qu'il va réagir « en augmentant sa consommation d'alcool et de cigarettes ». Il continue à boire et à fumer, fidèle au personnage qu'il est en train de devenir

 

Les boîtes de nuit, les beuveries, le noctambulisme, la décrépitude physique… De plus en plus, « Gainsbarre » succédera à Gainsbourg avec quelques apparitions télévisées plus ou moins alcoolisées. Il forge ainsi sa légende de poète maudit mal rasé et ivre qui lui vaut tantôt l'admiration, tantôt le dégoût.

En septembre 1980, après plus de dix ans de vie commune, Jane Birkin n'en peut plus et le quitte. Elle admet lors d'une émission télévisée réalisée après sa mort : « J'avais beaucoup aimé Gainsbourg, mais j'avais peur de Gainsbarre ».

Renaud s'inspirera de l'évenement pour sa chanson Dr Renaud, Mister renard.

Serge rencontre une nouvelle égérie, Bambou, pour laquelle, il ne peut, une fois de plus, s'empêcher de composer. Il lui fera chanter quelques titres qui ne rencontrent pas les faveurs du public (Made in China, 1989), mais il continuera cependant d'écrire pour Jane Birkin.

 

Son œuvre quasi-intégrale sort en coffret CD. Il contient de nombreux titres introuvables que les collectionneurs s'arrachent à prix d'or ; toutefois, les chansons écrites pour ses interprètes ne sont pas incluses, ni un certain nombre d'inédits, ni les concerts. Il part ensuite pour New York où il enregistre ses deux derniers albums, Love on the Beat et You're Under Arrest.

Après le reggae, il se frotte au hip-hop et au funk.

Il se produit de longues semaines en concert au Casino de Paris.

 

Gainsbourg s'éteint le 2 mars 1991 à la suite d'une cinquième crise cardiaque.

Il avait composé un album de blues avant sa mort et avait prévu de partir l'enregistrer à la Nouvelle-Orléans quelques jours plus tard.

Il est enterré avec ses parents au cimetière du Montparnasse à Paris où sa tombe est l'une des plus visitées avec celles de Jean-Paul SartreSimone de Beauvoir et de Charles Baudelaire.

 La tombe porte le nom de Serge Gainsbourg et de ses parents, Olga (1894-1985) et Joseph (1896-1971) Ginsburg.

 

Lors de son enterrement, le 7 mars 1991, vinrent notamment parmi la foule, outre sa famille, Catherine Deneuve, Isabelle Adjani, Françoise Hardy, Patrice Chéreau, Eddy Mitchell, Renaud, Johnny Hallyday, les ministres Jack Lang et Catherine Tasca, et les brigades de cuisiniers et serveurs du restaurant « L'Espérance » où il avait passé ses derniers jours.

Catherine Deneuve lut sur la tombe le texte de la chanson Fuir le bonheur de peur qu’il se sauve .

 

Serge Gainsbourg marque fortement la musique française. Il n'hésite pas à métisser ses compositions avec des influences musicales très variées, contribuant à en populariser certaines en France 

 

 

Gainsbourg demeure une présence influente et importante de la chanson française, sa musique sera par la suite fréquemment échantillonnée et réutilisée par des artistes aussi bien français  qu'internationaux 

 

Serge Gainsbourg imprime en outre durablement sa marque grâce à ses textes. Dans un style poétique, il n'hésite pas à produire des rimes complexes

 

Friand de jeux de mots, il s'appuie fréquemment sur le double sens. Les allusions érotiques sont de plus en plus fréquentes au fur et à mesure de sa carrière. Certaines de ses chansons marquent les mémoires par leur caractère provocateur, ainsi les allusions appuyées à la fellation dans Les Sucettes, qui provoquent l'émoi dans la bouche d'une France Gall d'à peine 18 ans. Puis c'est Jane Birkin feignant l'orgasme dans Je t'aime, moi non plus, tube planétaire. Gainsbourg flirte avec le tabou de l'inceste en compagnie de sa fille, la frêle Charlotte Gainsbourg : dans les années 1980, elle accompagne son père dans le duo Lemon Incest titre évocateur qui suscitera une levée de boucliers. Gainsbarre atteindra les sommets de la provocation érotique avec le tube Love on the Beat : véritable poème pornographique, dit par lui-même d'une voix monocorde et cassée. Le fond sonore est constitué des cris orgasmiques de Bambou. L'orchestration baigne dans un funk froid et les chœurs scandent le titre de la chanson de leurs voix androgynes et mouvantes.

 

Il choisit des sources d'inspiration inattendues et les développe à sa manière : textes d'Alphonse Allais pour l'Ami Caouette, de Verlaine pour Je suis venu te dire que je m'en vais; musiques de Chopin pour Lemon incest et bien entendu de Rouget de Lisle pour Aux armes, et caetera.

 

En dépit de cela, il ne cessera de répéter au fil des interviews qu'il considère la chanson comme un genre mineur, puisque ne demandant pas d'initiation, à la différence de la peinture

 

 

Un artiste qui n'a pas trouvé son égal et ne le trouvera jamais !!!!!!!!!!!!!

 

 

 

 

 

"Nos deux cœur seront deux vastes flambeaux,

Qui réfléchiront leurs doubles lumières

Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux."

Charles Baudelaire, Les fleurs du mal.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’hiver, nous irons dans un petit wagon rose

Avec des coussins bleus.

Nous serons bien. Un nid de baisers fous repose

Dans chaque coin moelleux.

Tu fermeras l’œil, pour ne point voir, par la glace,

Grimacer les ombres des soirs,

Ces monstruosités hargneuses, populace

De démons noirs et de loups noirs.

Puis tu te sentiras la joue égratignée…

Un petit baiser, comme une folle araignée,

Te courra par le cou…

 

Et tu me diras : "Cherche !", en inclinant la tête,

- Et nous prendrons du temps à trouver cette bête

- Qui voyage beaucoup...

 

 

Rimbaud

 

 

 

 

 

 

 

Encore une mauvaise manoeuvre ce matin .......

La tête dans le brouillard .......

J'ai perdu une partie de mon article ......

Pas grave, mon post d'aujourd'hui sera un tout petit peu plus "léger" ......

Pas moyen de récupérer de cette satanée fatigue !!!

Le soir, je tombe littéralement de fatigue, je m'effondre ......

Le matin, après une nuit quelque peu mouvementée .... les yeux réclament encore à dormir, l'esprit aussi d'ailleurs !!!!!!

Pfffff !!! Vivement les vacances .....

 

Bisous à tous et bonne journée ......

 

 

 

 

 

 

 

Commentaires

lafianceedusoleil le 02-03-2011 à 22:28:22
bonsoir ma douce Heremoana,

comment je me sens, c'est une bonne question, je vais y réfléchir. je vais bien, pour le moment. Je préfère ne pas y penser. Je n'aime pas parler d'âge. Ca ne veut rien dire. C'est dans la tête que ça se passe. Hier, j'ai passé une super journée grâce à vous tous. Comme c'est bon de se sentir apprécier.

Espère que ta journée fut douce.

Très belle nuit ma jolie, fais de beaux rêves.

Bisou


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Lilianne50 le 02-03-2011 à 20:42:19
Bonjour Heremoana . Alain Chamfort , que de souvenirs , cette chanson Madonna . Seigneur , je rêvassais . J'avais 14-15ans a cette époque . J'ai mise cette chanson dans mes favoris sur mon I Pod et il m,arrive de l'écouter encore . . Merci pour ta visite . Comment va tu ? On dit qu'il fait froid par chez toi ? Ici beau soleil , mais très venteux . Température un peu froide , nous aussi . Serais tu dans le monde du showbusiness ? Hi Hi! Bonne Soirée . Bisous
Avaryans le 02-03-2011 à 19:16:18
HELLO,PETIT COUCOU POUR TE SOUHAITER UNE BONNE SOIREE, GROS BISOUS

DANIELLE


Avaryans
lolo78000 le 02-03-2011 à 13:30:15
petit coucou pour te souhaiter un très bon mercredi oui soleil mais un vent glacial couvre toi bien de gros bizzzous
harfang le 02-03-2011 à 12:24:05
c'est je jour charnière, celui qui te rapproche peu à peu du WE ! alors plus que 2 jours à tenir et tu pourras te reposer, non ?

Bon courage pour cette fin de journée et des bisous de réconfort.
tendremamie le 02-03-2011 à 11:26:14
je ne sais où tu prends le contenu de tes articles si documenté que j'aime lire mais je te tire mon chapeau.. car je ne connaissait pas la moitié de celui ci.... je viens par un petit soleil te voir , cet après midi le jardin va avoir ma visite cela est sûr.... je te souhaite une bonne journée .....hebergeur image lumineuse et remplie de joies bizzzz
ktizeb le 02-03-2011 à 10:09:40
Ben c'est pas aujourd'hui qu'on va tondre le belin par ici, il va mourir gelé sinon! Il nous faut encore de la grosse laine en ce début de mars!

Repose toi bien, il faut être prête pour attaquer le printemps, l'hiver est long, mais il ne doit pas avoir raison de notre forme, sacré nom d'un petit bonhomme!

je t'embrasse et te souhaite une bonne journée, je pars en fredonnant du Gainsbourg que j'aimais beaucoup
miou14 le 02-03-2011 à 09:27:47
Bonjour Heremoana, des souvenirs en pagaille remontent dans ma tête à la lecture de ton billet .... 1969, deux bouts de chou de 2 et 1 ans à qui je chante en rythmant le casachok. Le couple Jane Birkin - Gainsbourg qui a habité une maison dans le Calvados avec leurs enfants petits, entre autre Charlotte. Thierry le luron dont j'aimais beaucoup les imitations et puis, et puis .... Bon mercredi à toi. Bisous