Jeudi 22 Juillet
On fête les Marie-Madeleine,
Madalen - Madaleno - Maddly - Maddy - Madé - Madée - Madeleine - Madeline - Madelon - Madelonnette - Madeloun - Madleen - Mado - Madon - Madou - Maharisha - Mannick - Marielle - Marilyn - Marioun - Marline - Maryline - Masheva - Maybelle - Murielle - Pancha - Panchaire - Pancho - Wandrille.
Madeleine, de l'hébreu Magdala, ville de Galilée, de migda-ael, tour de Dieu.
Prénoms dérivés : Madeleine, Mado, Madelon, Madeline, Maddy, Madella, Mala....
Les Marie-Madeleine sont des femmes assez maternelles sur lesquelles on aime se reposer. Elles apprécient le calme et l'aisance. Enjouées, elles savent communiquer leur amour de la vie à leur entourage.
1944 : naissance de Richard Davies du groupe Supertramp
1946 : ...................... Mireille Mathieu
1946 : ...................... Paul-Loup Sulitzer
1947 : ...................... Don Henley chanteur et batteur du groupe de rock The Eagles.
2000 : Décès de Claude Sautet
2004 : Décès de Jerry Goldsmith, 75 ans, compositeur américain, auteur de nombreuses musiques de films dont "Basic Instinct", "La planète des singes", "Chinatown" ou encore "L.A. Confidential"
2004 : Sacha Distel, guitariste de jazz français et crooner
2004 : …………… Serge Réggiani
1946 : Fondation de l'OMS. L'ONU, crée en juin 1945, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), une institution spécifique à vocation médicale et humanitaire.
1985 : 18 radios libres privées sont autorisées à émettre en Région Parisienne
1986 : En Grande-Bretagne, la chambre des Communes se prononce en faveur de la suppression des châtiments corporels dans les écoles
1993 : Loi prévoyant qu’un jeune étranger né en France ne pourra devenir français qu’à partir de seize ans, s’il en manifeste la volonté et s’il réside en France.
l'Organisation mondiale de la Santé a annoncé mardi que la grippe A(H1N1) avait fait plus de 700 morts dans le monde depuis le début de l'épidémie !!!!!!
Bien loin des prévisions pandémiaires et ...... alarmantes !!!!!!!!
Sans commentaires ..............
Serge Reggiani fait partie comme Yves Montand de cette génération d'italiens immigrés en France dans la première moitié du siècle.
Il symbolise les beaux jours du Quartier Latin des années cinquante.
Pour les artistes, pour le public, il représente le talent total, celui qui va de la chanson la plus noble au théâtre le plus exigeant en passant par la peinture, la littérature et le cinéma.
Serge Reggiani est né le 2 mai 1922 à Reggio Emila, dans le nord de l'Italie.
Son père, antifasciste notoire, fuit vers la France le 1er novembre 1930 avec femme et enfant.
Dans un premier temps, toute la famille s'installe en Normandie, à Yvetot, où Reggiani père ouvre un salon de coiffure.
Puis en 1931, c'est à Paris que déménagent Serge et ses parents. Après avoir connu des temps difficiles dans différents quartiers de Paris, c'est dans le faubourg Saint-Denis que les Reggiani trouvent enfin du travail.
En presque une année, Serge qui a presque 10 ans, apprend le français et devient premier de sa classe. Cependant, c'est le sport qui l'intéresse le plus, et en particulier la boxe qu'il pratique passionnément.
A 13 ans, il quitte l'école et devient apprenti-coiffeur.
En 1937, il découvre une petite annonce concernant l'ouverture d'un conservatoire des Arts cinématographiques. Il présente sa candidature avec succès et sort en fin d'année avec le 1er prix de comédie.
Après quelques petits rôles au cinéma et au théâtre, il décide de s'inscrire au Conservatoire national d'Art dramatique en 1939. Deux ans plus tard, il en sort avec deux prix de comédie et de tragédie.
En ces années de guerre, Cocteau le remarque et lui fait jouer sa pièce "Les enfants terribles". Mais Reggiani, qui s'est déjà brillamment illustré au théâtre, est nettement plus attiré par le cinéma.
Très apprécié dans des rôles au destin plutôt dramatique, son premier succès date de 1943 dans "Le carrefour des enfants perdus" de Léo Joannon.
Pendant ce tournage, il rencontre sa première épouse, la comédienne Janine Darcey, avec qui il aura deux enfants.
Après ce tournage, il fuit Paris avec d'autres comédiens afin d'échapper au travail obligatoire en Allemagne
En 1948, Serge Reggiani obtient la nationalité française.
Après la guerre, Reggiani apparaît dans de nombreux films dont les plus célèbres sont "Etoile sans lumière" de Marcel Blistene avec Edith Piaf, "Les portes de la nuit" de Marcel Carné en 1946, "La ronde" de Marcel Ophuls en 1950, et surtout "Casque d'Or" de Jacques Becker en 1952. Durant ce dernier tournage, Serge Reggiani partage l'affiche avec celle qui sera son amie jusqu'à la mort de celle-ci en 1985, Simone Signoret.
En 1959, il interprète une vingtaine de chansons lors d'un programme radiophonique. Reggiani possède une voix grave et un phrasé particulier, mais il faut encore attendre quelques années pour que la chanson entre dans sa vie.
Au début des années 60, il part s'installer près de Cannes, à Mougins, avec sa nouvelle épouse Annie Noël, et leurs trois enfants.
En 1962, il tourne deux chefs-d'œuvre du cinéma français : "Le Doulos" de Jean-Pierre Melville, et "Le guépard" de Luchino Visconti.
C'est en 1963, qu'il rencontre Jacques Canetti chez le couple Montand-Signoret. Canetti, directeur artistique et découvreur de talents, propose à Reggiani de s'essayer à la chanson.
Sans guère d'hésitation, le comédien va choisir, pour un premier essai, des titres de Boris Vian. Ces enregistrements donneront lieu à premier album en 1965. C'est un succès immédiat.
A 43 ans, Reggiani commence donc une nouvelle carrière.
Canetti fait chanter Reggiani sur scène, mais un trac énorme l'empêche d'effectuer un récital de qualité. Les réactions sont mitigées.
Barbara, séduite par le disque consacré à Boris Vian, propose à Serge Reggiani de faire la première partie de son tour de chant à Bobino. Cette fois, le succès est au rendez-vous et Reggiani suit Barbara en tournée.
La chanteuse lui propose même de l'aider à travailler son chant et sa respiration. Reggiani, malgré ses 44 ans, est un chanteur débutant et a encore besoin d'un apprentissage.
Après avoir apprécié Reggiani acteur, le public français s'enthousiasme petit à petit pour Reggiani chanteur.
A la veille de mai 68, il est même intéressant de remarquer que l'adhésion d'un public jeune se fait instantanément. Les textes de Vian n'y sont sûrement pas pour rien.
Serge Reggiani, qui continue sa carrière au cinéma, enregistre en 1967 un deuxième album "Les loups sont entrés dans Paris" (allusion aux nazis pendant la seconde Guerre mondiale), sont tous originaux, à l'exception de "Le Déserteur" de Boris Vian.
La même année, Reggiani est remarqué auprès de Jacques Brel lors d'un concert de soutien à Pierre Mendes France
Serge Reggiani est un artiste engagé à gauche et ses prises de position pour l'opposition de l'époque le rendent encore plus populaire surtout à la veille de mai 68. Pendant les événements, la présence de Reggiani est même réclamée par les étudiants pour qu'il chante à la faculté de médecine.
Le deuxième album de Reggiani lui apporte une énorme célébrité. Le disque passe abondamment sur les antennes de radio, en particulier "Le petit garçon"
Du 7 février au 4 mars 68, Serge Reggiani fait un malheur à Bobino. La jeunesse l'acclame et une enquête démontre en mars 1968, que les titres de Reggiani sont autant joués dans les juke-boxes des bars que ceux des Moody Blues.
De nombreux magazines s'interrogent sur son étrange parcours qui fait de lui une star de la chanson à 45 ans.
Un troisième album sort en 1968
.
Les textes sont encore des textes originaux, sauf une fois encore, "La java des bombes atomiques" de Boris Vian. L'album sort le 28 octobre et la chanson "Il suffirait de presque rien" est choisie par les programmateurs pour la promotion.
Du 4 février au 17 mars, il occupe Bobino. Devant l'affluence du public il décide de prolonger de 15 jours la série de concerts.
Bien qu'il continue à tourner des films, Reggiani se consacre en grande partie à la chanson. .
Dans son quatrième album qui sort en juin 1970, la moitié des titres sont justement l'œuvre de jeunes artistes dont Alain Robin, ("Un siècle après") ou Maxime Le Forestier, ("Ballade pour un traître").
En décembre, le fils aîné de Reggiani, Stephan, passe en vedette américaine de Liza Minnelli à l'Olympia. Lancé dans la chanson depuis 1967, Stephan Reggiani n'arrivera jamais à se dégager de la notoriété de son père et à devenir un chanteur renommé.
En 1972, Serge Reggiani sort un album chez Polydor, "Le vieux couple". Le succès est timide mais la chanson "Hôtel des voyageurs" passe assez souvent sur les radios.
Sans doute en raison de son âge, Reggiani fait, au début des années 70 déjà figure de monument dans la chanson. Il continue à sortir un album par an mais sa notoriété est moins bruyante qu'à ses débuts.
En 1974, Reggiani est de retour au cinéma à travers un superbe rôle dans le film de Claude Sautet "Vincent, François, Paul et les autres".
En 1975, Serge Reggiani va se consacrer à son fils Stephan.
Du 26 décembre 1974 au 26 janvier 1975, ils partagent tous les deux la scène‚ de Bobino. Bien qu'une complicité évidente se dégage des concerts, le public accueille tièdement le duo père-fils.
Serge Reggiani est très admiratif des talents de musiciens de son fils.
A la rentrée, ils passent en vedette à la fête de l'Huma, rassemblement annuel du parti communiste français, puis s'envolent pour une tournée au Canada.
La chanson a permis à Serge Reggiani de sortir de son image de mauvais garçon.
En 1975, le cinéaste Claude Lelouch lui offre deux très beaux rôles qui exploitent le grand humour de Reggiani, d'abord dans "Le chat et la souris" avec Michèle Morgan, puis dans "Le bon et les méchants" avec Jacques Dutronc.
Puis en 1976, on découvre plutôt sa fibre tendre, surtout dans "Violette et François" de Jacques Rouffio avec Isabelle Adjani.
En avril 1977, Serge Reggiani participe au tout premier festival de Bourges, qui au milieu des années disco, prend le parti de mettre en valeur la chanson française des Frères Jacques et Charles Trenet à Jacques Higelin et Bernard Lavilliers, tous invités du festival cette année-là.
Il sort un nouvel album également en 1977 dans lequel il rend hommage à Jacques Prévert disparu récemment ("Cet amour").
Cependant, après l'accueil mitigé du duo père-fils en 1975, la presse est cette fois très sévère avec cette affiche familiale et reproche à Serge Reggiani d'étouffer, involontairement, la carrière de ses enfants. Malgré ces critiques, les trois Reggiani partent en tournée durant l'hiver 77-78.
1980 est une année dramatique pour Serge Reggiani et sa famille. En juillet, son fils Stephan se suicide dans leur maison de Mougins. Ce décès marque pour le jeune homme de 33 ans la fin d'un parcours difficile. Serge Reggiani, violemment marqué par cet événement, va dès lors laisser un peu la chanson de côté.
Bien que la chanson ne l'enthousiasme plus autant, Serge Reggiani trouve dans le travail un moyen de lutter contre la déprime et l'alcool qui commence à le ronger.
Du 5 au 17 mai 1981, en pleine campagne électorale qui mènera François Mitterrand au pouvoir, le public de l'Olympia fait un véritable triomphe au chanteur, lui témoignant ainsi son affection et sa solidarité dans l'épreuve.
En 1982, Serge Reggiani enregistre un nouvel album, "Le zouave du pont de l'Alma". La sortie du disque en octobre est suivie d'une tournée durant tout l'hiver 82-83. La tournée se termine à l'Olympia du 15 mars au 10 avril. Affaibli par l'alcool, Reggiani doit chaque soir lutter contre son épuisement.
Serge Reggiani pratique de plus en plus souvent la peinture. Sa première exposition aura lieu en 1989.
Janvier 1986, Serge Reggiani est de retour sur la scène de l'Olympia, qu'il retrouve encore en 1989 et en mars 1991, année de ses 25 ans de chanson.
En 1989, sort un superbe album, "Reggiani 89", dans lequel chaque chanson fait le portrait d'un personnage célèbre pour lequel Serge Reggiani a une admiration particulière.
Deux ans plus tard, sort l'album "Reggiani 91". Reggiani, qui a arrêté la boisson suite à de très sérieux problèmes de santé, reprend goût à la vie après des années 80 difficiles.
Début 1993, Serge Reggiani célèbre ses 70 ans dans un album au titre explicite, "70 balais", album dans lequel Reggiani s'essaie pour la première fois à la composition.
Du 19 au 24 septembre, il entame une série de concerts à l'Olympia. Chaque soir, après un récital de 33 chansons, il est ovationné pendant plusieurs minutes par un public ému devant la vitalité et la rage de vivre de cet artiste aux multiples talents.
Après avoir longtemps soutenu le rythme d'un album par an, Serge Reggiani semble désormais apprécier la fréquence d'un album tous les deux ans. Très occupé par ses différentes passions (la peinture, la sculpture, l'écriture), la chanson devient finalement une de ses activités parmi les autres.
Quelques jours avant d'effectuer son grand retour sur une scène parisienne, Serge Reggiani retourne chanter dans son village natal de Reggio Emilia pour un récital émouvant. Puis à Paris, du 12 au 21 septembre 1997, l'artiste est cette fois, acclamé par un public enthousiaste de retrouver cet homme de 75 ans qui, pour eux, fait le tour de sa vie en chansons.
De plus, certaines de ses peintures sont exposées dans le hall du Palais des Congrès pendant les dix jours de son passage.
Malgré une santé fragile, Reggiani continue d'enregistrer des chansons. En août 99, sort un nouvel album intitulé "les Adieux différés", titre sans doute ironique puisque le comédien chanteur y abordent essentiellement le thème de la vie, de la nostalgie, des femmes et de l'amour bien sûr. Rien à voir avec ce qui pourrait être une façon élégante de tirer sa révérence.
L'année de ses 80 ans, c'est toute une frange de la chanson française qui rend hommage à l'artiste à travers un disque qui paraît le 2 décembre 2002 : "Autour de Serge Reggiani"
Le 15 février, aux 18èmes Victoires de la Musique, il reçoit une Victoire d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.
Fort de ces marques de reconnaissance et de soutien, il part en tournée, à Paris, au Palais des Congrès les 14 et 15 mars et le 26 avril, aux Francofolies de Spa (Belgique) en juillet, aux Francofolies de Montréal (Canada) en août,de nouveau à Parisà l'Olympia les 7 et 8 octobre, à Genève (Suisse) le 17, puis dansune dizaine de villes de France.
Serge Reggiani meurt d'un arrêt cardiaque à son domicile parisien le 22 juillet 2004, âgé de 82 ans.
Artiste multiple, saltimbanque, Serge Reggiani laisse une œuvre où se côtoient douleur, tendresse et humour.
Homme blessé, mais éternel battant, celui qui n'a jamais oublié sa patrie et sa langue d'origine a toujours soutenu certaines luttes politiques, en particulier la lutte contre le racisme et en faveur des droits de l'homme.
Symbole du Saint Germain insouciant des années 1950-1960 et de l'engagement artistique exigeant, il restera comme l'une des figures majeures de la chanson française du XXe siècle.
La femme qui est dans mon lit
N'a plus 20 ans depuis longtemps
Les yeux cernés
Par les années
Par les amours
Au jour le jour
La bouche usée
Par les baisers
Trop souvent, mais
Trop mal donnés
Le teint blafard
Malgré le fard
Plus pâle qu'une
Tâche de lune
La femme qui est dans mon lit
N'a plus 20 ans depuis longtemps
Les seins si lourds
De trop d'amour
Ne portent pas
Le nom d'appas
Le corps lassé
Trop caressé
Trop souvent, mais
Trop mal aimé
Le dos vouté
Semble porter
Des souvenirs
Qu'elle a dû fuir
La femme qui est dans mon lit
N'a plus 20 ans depuis longtemps
Ne riez pas
N'y touchez pas
Gardez vos larmes
Et vos sarcasmes
Lorsque la nuit
Nous réunit
Son corps, ses mains
S'offrent aux miens
Et c'est son cœur
Couvert de pleurs
Et de blessures
Qui me rassure
Pas de commentaires ......
Les mots parlent d'eux-mêmes ......
Le giroflier Eugenia aromatica, qui donne le clou de girofle, peut mesurer jusqu'à 18 m de hauteur.
La Bourse je m'en fous, j'ai choisi la vie.
Guy BEDOS.
Instant nostalgie :
le 22.07.1971
En France : "Pour Un Flirt" interprété par Michel DELPECH.
En Angleterre : "Chirpy Chirpy Cheep Cheep" interprété par Middle Of The Road.
Pour mon plaisir,
1940 ..... cela vous rappelle quelque chose ????? Et oui, très coquine pour l'époque déjà ....
Instant humour :
Commentaires
viens te souhaiter une agréable soirée et un très bon week-end gros bizzzous
J'adore Reggiani, il m'arrive de l'écouter en boucle dans ma voiture, comme Barzotti.
Au fait pour Barzotti j'ai posté chez notre ami commun.
Bisous Katy, à très vite.
1940 , je suis surpris de voir des images en couleurs de cette année .
Plus facile de dormir maintenant avec la baisse des températures , alors bonne nuit , bisous , à+ .
Coucou ma Heremoana
eh oui ...je suis revenue après de superbes vacances ...
j'espère que pour toi tout va pour le mieux
merci pour tes gentils passages sur mon blog durant mon absence
quel plaisir de retrouver tes beaux articles
passe une belle soirée
bisousss, Patou
La femme qui est dans mon lit N'a plus 20 ans depuis longtemps... Il y a qq temps, j'ai regardé une émission sur la cinq d'un photographe sur les rapports de l'amour des gens qui n'avaient plus 20 ans depuis longtemps... Pour photographier les hommes, d'un age très avancé, elle les photographiait allongés... c'était préférable... Je n'ai pas fini de regarder l'émission... Beurk ! Les corps nus, c'est jusqu'à cinquante ans qu'on peut les regarder et photographier après, ça discute...
petit coucou pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous
pas grave" si la femme qui est dans mon lit..................." bon choix ,avec serge reggiani.bises
Coucou et oui enfin des nuits fraîches surtout en appart c'est très dur à supporter
Je te remercie de tes passages chez moi et ce même que je sois pas dispo mais je ne vous oublie pas bientôt je pars en vacances et j'espère bien qu'à la rentrée scolaire je trouverai mieux le temps pour mon blog
Passe une bonne journée et à très bientôt
amitié