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Mercredi 21 Juillet

On fête les Victor,

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Après avoir rencontré un grand succès dans les années 1970, Cat Stevens se convertit à l'islam en décembre 1977 et prend le nom de Yusuf Islam.

 Steven Demetre Georgiou, voit le jour à Londres, bien que sa mère soit suédoise et son père chypriote.

Il est le dernier d'une famille de trois enfants.

Orthodoxe, Steven est tout de même envoyé dans un établissement catholique. Ses parents l'y envoient pour qu'il puisse apprendre les bases de la morale. Steven, qui apprend à distinguer le bien du mal, est très tôt marqué par la religion. 

 Steven, orthodoxe, ne peut être qu'un observateur de la religion catholique. Mais cela lui convient. Cela aurait été plus problématique avec l'Islam.

Les parents de Steven tiennent un restaurant. A dix ans, le jeune garçon fait déjà le service. 

A Londres,  être un enfant métissé n'est pas un problème.

Shaftesbury Avenue est un endroit très cosmopolite.

Chez lui, c'est le métissage du froid et du chaud. Dans le couple, c'est un mélange risqué, souvent explosif. Vers huit ans, les parents de celui qui va devenir Cat Stevens décident de divorcer. Mais la rupture est pour le moins inhabituelle : ils continuent à habiter tous les deux au-dessus du restaurant, mais séparés. Ils continuent aussi à travailler ensemble. Steven dort dans la chambre de son père ou celle de sa mère, selon le vainqueur d'un jeu. Le plus souvent, son père gagne. Steven est donc plus souvent chez son père. Pourtant, il a toujours été plus proche de sa mère.

Sa mère part ensuite s'installer en Suède. Steven la suit. Là-bas, il va à l'école pendant six mois. Son métissage passait inaperçu à Londres. Mais en Suède, Steven,  attire l'attention.

Ensuite, Steven revient à Londres, dans un environnement plus familier.

 Jeune, il démontre des talents artistiques. Sa mère l'encourage. Au lieu de lui demander d'arrêter de jouer et de filer au lit, elle le laisse exprimer ses pensées en musique. Très vite, il apprend à jouer du piano familial. Ensuite, il se met à la guitare et commence à écrire des chansons.

En studio, Steven enregistre une démo. A dix-huit ans, Steven a déjà un hit à son actif : « I love My Dog ».

Sa vie change du tout au tout. Interviewé, photographié, Cat Stevens est aussi chassé par les groupies.

En 1966, son premier album, « Matthew & Son » sort. « New Masters » sort l'année suivante.

En 1970, « Mona Bone Jakon » et « Tea for the Tillerman » paraissent.

En 1971, Cat Stevens sort "Teaser and the Firecat".

"Catch Bull at four" paraît en 1972.

"Foreigner" date de 1973.

Toujours aussi prolixe, il sort « Buddha And The Chocolate Box » en 1974, ainsi que « Saturnight ». « Numbers » paraît en1975.

« Izitso » et « Back To Earth » sont ses deux derniers albums (1977 et 1978).

 « Lady d'Arbanville »  une chanson triste  où il raconte comment sa fiancée, Patricia d'Arbanville,  échappe miraculeusement à la mort. Après son accident, persuadé que Dieu l'a sauvé, il abandonne sa carrière d'artiste folk pour se convertir à l'Islam.

Depuis, sa conversion reste polémique. Accusé d'avoir financé le Hamas, Cat Stevens est interdit de séjour aux Etats-Unis.

Ses deux grands tudes, "Wild world " et "Lady d'Arbanville" , assurent à Cat Stevens la postérité.

Retraites :

Avec l'examen en Commission du projet de loi sur les retraites, hier, 20 juillet, à l'Assemblée nationale, le ridicule a été atteint.

Le gouvernement publie de pleines pages de publicité dans les journaux sur les avantages d'une loi qui n'a pas encore été votée, dont la discussion n'a même pas commencé, mais le débat en Commission, lui, doit être soigneusement calfeutré, interdit de toute publicité.

L'information c'est ce qui peut être vérifié, recoupé, analysé, mis en perspective.

Le travail parlementaire n'a rien à gagner à se dérouler dans ces conditions. Il est temps que le Parlement comprenne que la transparence est la meilleure alliée !!!!!!!

Rendez-vous le 7 Septembre !!!!!! 

La légende du monstre du Loch Ness remonte au moyen-âge mais a connu un réel engouement au cours des deux derniers siècles. On recense plus d'un millier de témoignages sur l'apparition du monstre, des centaines de photos ainsi que des dizaines de vidéos 

D'après les informations dont on dispose, l'animal serait physiquement proche des reptiles marins de l'ère jurassique.

De nombreuses recherches ont été entreprises mais les conditions d'explorations très difficiles du lac écossais les ont rendues peu probantes.

Le Yéti est une créature légendaire du Népal, mi-homme mi-singe, qui sillonnerait les hauteurs de l'Himalaya.

De nombreux explorateurs et alpinistes affirment l'avoir croisé.

Les témoignages dépassent même les frontières, puisqu'on aurait également vu un animal similaire aux États-Unis (Bigfoot), au Canada (Sasquatch) ou dans le Caucase (Almasty).

Toutefois, les preuves de son existence sont minces : quelques traces de pas et des photos ambigües.

Les suppositions vont du descendant de l'homme de Néandertal au gorille préhistorique préservé en passant par le simple primate adapté aux environnements montagneux.

C'est dans le Trimé et le Critias de Platon qu'est mentionnée pour la première fois l'existence de l'Atlantide, une île abritant une civilisation antique très évoluée, engloutie par les flots.

Curieusement, ce mythe apparaît également dans les civilisations amérindiennes.

Longtemps considéré comme une légende farfelue, certains chercheurs et historiens ont cependant trouvé des éléments archéologiques qui coïncident avec les textes de Platon.

Le problème est que chacun appuie sa théorie sur un point géographique différent : la Crête, la Mer du Nord, les Açores ou encore l'Océan Indien, ce qui rend l'origine de l'Atlantide indéterminable.

De l'antiquité à nos jours, de nombreux témoignages décrivent des pluies étranges faites de poissons, de grenouilles, d'oiseaux, de serpents, de souris ou encore de crevettes.

Certains attribuent ces pluies à une colère divine.

La seule explication scientifique avancée jusqu'à maintenant est l'aspiration d'animaux vers le ciel par des tornades et des cyclones qui les relâchent quelques kilomètres plus loin.

Mais cette thèse n'explique pas pourquoi une seule espèce animale est aspirée pour retomber sans laisser de traces.

Lemystère rôde toujours .........

En 1764, des attaques très violentes dans la région du Gévaudan, ciblant principalement les enfants et les jeunes filles, sèment la panique chez les habitants du coin, à tel point que l'affaire remonte jusqu'au roi Louis XV.

Les descriptions recueillies d'après les témoignages et l'état des victimes, parfois décapitées, font penser à un animal sauvage de nature inconnue ou un démon.

Plusieurs battues sont organisées pour tenter de capturer la bête, toujours en vain.

Le carnage prend fin trois ans plus tard, quand le garde forestier Jean Chastel parvient enfin à la tuer.

Certains pensent que ce dernier aurait en réalité dressé l'animal, un chien-loup, pour commettre des crimes pervers, ce qui expliquerait notamment pourquoi la bête s'en prenait systématiquement aux humains.

Instant nostalgie :　

le 21.07.1972
En France : "Pop Corn" interprété par HOT BUTTER